« 1, 2, 3 » : La petite amie de João Neves révèle le tendre secret derrière la célébration du Portugais | OneFootball

Derrière la célébration devenue virale de João Neves, le jeune milieu de terrain du Paris Saint-Germain, se cache une histoire intime et pleine d’émotion. Invitée de l’émission Cala-te Boca sur la radio portugaise Mega Hits, l’actrice Madalena Aragão, compagne du joueur international, a révélé la signification du fameux geste « 1, 2, 3 » que son amoureux réalise après certains buts.

Une célébration née dans le cercle familial

Lorsque João Neves marque, il se tourne vers la caméra et lève les doigts successivement pour former le « 1, 2, 3 ». Un geste qui intrigue les supporters depuis plusieurs mois. Madalena Aragão a levé le voile sur son origine. « Ma mère a inventé que ‘1, 2, 3’ voulait dire I love you[‘je t’aime’, en anglais]. L’idée, c’est que si quelqu’un est loin, au lieu de crier ‘je t’aime’, on fait juste ce signe. C’est quelque chose qui appartient à ma famille, à mes sœurs, mes parents et moi », a expliqué la jeune actrice.

Ce symbole discret d’affection est devenu, sans le vouloir, un langage secret entre elle et João Neves.

« Il a fait partie de ma famille dès le premier jour »

Madalena Aragão raconte aussi comment cette tradition familiale est devenue un signe public d’amour : « Quand j’ai rencontré João, il est entré dans ma famille comme personne ne l’avait jamais fait avant. Un jour, dans le jardin, on parlait de ses célébrations de but. Je lui ai dit : “Tu ne peux pas en changer à chaque fois, il faut que ce soit quelque chose de toi.” »

Quelques semaines plus tard, le joueur du PSG adoptait naturellement ce geste.

Des larmes de joie devant l’écran

L’actrice se souvient avec émotion de la première fois où elle a vu son compagnon réaliser le « 1, 2, 3 » après un but : « C’était lors de son premier match avec le PSG contre Marseille. J’étais au Portugal, à un dîner de famille pour regarder la rencontre. Quand il a marqué et qu’il a fait le ‘1, 2, 3’, ma mère s’est mise à pleurer, ma sœur aussi, et moi pareil. J’ai même une vidéo où je pleure en criant : “Il l’a fait !” »

Un moment devenu viral, mais avant tout profondément personnel pour le couple et leur famille. Signe que derrière la rigueur du terrain, le jeune Portugais garde toujours un lien fort avec ceux qui comptent le plus pour lui. Et à chaque but, un simple « 1, 2, 3 » suffit à dire l’essentiel : je t’aime.