Amorim respire, Manchester United gagne enfin, Arsenal solide ! | OneFootball

Alors qu'il aurait pu risquer très gros en cas de loupé face à Sinderland, Ruben Amorim peut être soulagé après la victoire de Manchester United. Arsenal continue d'être solide.

Le soulagement est palpable du côté d’Old Trafford. Après un début de saison chaotique, Manchester United retrouve le sourire. En danger avant cette 7ᵉ journée de Premier League, le coach portugais Ruben Amorim peut souffler : ses hommes l’ont emporté 2-0 face à Sunderland, un succès maîtrisé de bout en bout qui rassure autant qu’il relance le club.

Les Red Devils ont rapidement pris les commandes du match grâce à Mason Mount (8ᵉ), auteur de son premier but en championnat. Bien servi par Bryan Mbeumo, omniprésent sur l’aile droite, l’ancien de Chelsea a parfaitement conclu d’un plat du pied précis. Benjamin Šeško a ensuite doublé la mise à la 31ᵉ minute, profitant d’une touche déviée pour inscrire son deuxième but de la saison. Solides derrière autour du jeune Leny Yoro, disciplinés au milieu avec Casemiro et Fernandes, les Mancuniens ont enfin dégagé une impression de maîtrise collective.

Rice punit West Ham avec Arsenal

Sunderland, pourtant invaincu depuis quatre matches, n’a jamais réellement inquiété Lammens, malgré quelques velléités en fin de première période et en fin de match. Les Black Cats ont manqué de tranchant offensif face à un bloc mancunien compact. Cette victoire, la troisième consécutive à domicile pour United, permet à Amorim de gagner du temps et de la sérénité dans un contexte médiatique pesant. Les Red Devils remontent la pente et se replacent dans le ventre mou.

Pendant ce temps, Arsenal poursuit son parcours sans accroc. Les Gunners de Mikel Arteta ont dominé West Ham (2-0) à l’Emirates Stadium grâce à Declan Rice (38ᵉ) et Bukayo Saka (67ᵉ, s.p.). Ironie du sort, c’est Rice, l’ancien capitaine des Hammers, qui a ouvert le score en renard des surfaces avant que Saka, encore décisif, ne scelle la victoire sur penalty.

Malgré la blessure d’Ødegaard en première période, Arsenal n’a jamais tremblé. Avec 72 % de possession, un pressing constant et un collectif huilé, les Londoniens confirment leur solidité et restent dans le sillage de Liverpool. La défense, menée par Saliba et Timber, n’a laissé aucune miette à une équipe de West Ham apathique.

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