Foot National
·7. November 2024
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Hormis le cas Kylian Mbappé, le sélectionneur Didier Deschamps a évoqué d'autres sujets ce jeudi 7 novembre, au moment de dévoiler sa liste pour le prochain rassemblement.
C'était LE sujet qui a animé cette conférence de presse très attendue. En début d'après-midi, le sélectionneur de l'équipe de Didier Deschamps a dévoilé sa liste pour le rassemblement de novembre et les deux derniers matchs de Ligue des Nations contre Israël (14/11) et l'Italie (17/11), dans laquelle ne figure pas Kylian Mbappé. Comme en octobre, donc. Forcément, de nombreuses questions ont été posées à ce sujet. Si le technicien double champion du monde s'est expliqué sur ce choix, il s'est également penché sur d'autres sujets. Florilège.
"C'est une étape importante pour lui. La saison dernière, il avait été performant. Il continue de l'être avec son club, que ce soit en Ligue 1 et sur la scène européenne. S'il est là, c'est au détriment d'Alphonse Areola qui n'y est pas. Mais j'ai dit au dernier rassemblement qu'il était plus que proche".
"Adrien revient. Il a eu un arrêt assez important, il retrouve des jambes, il a un certain vécu. Kanté n'était pas là au dernier rassemblement parce que blessé. On prend un peu plus d'âge dans la moyenne avec ces deux joueurs. La jeunesse n'interdit rien, mais avoir de l'expérience et du vécu, c'est bien d'avoir les deux".
"Vous le saurez jeudi ou peut-être mercredi si je décide d'envoyer le capitaine en conférence de presse, parce que ce n'est pas une obligation. Ce ne sera pas Tchouaméni, puisqu'il est blessé. Cela permettra aussi, à travers ce rassemblement, de responsabiliser un peu plus d'autres joueurs et maintenir une dynamique enclenchée".
"J'ai pris l'option de revoir d'autres joueurs. À lui de maintenir ce qu'il fait avec son club. À ce poste, il y a beaucoup de concurrence. Peut-être un peu plus. Il l'a été, il n'y est pas. Ce n'est pas que c'est fini. Il fait partie des pré-listes. J'ai des choix ponctuels à faire".
"Je ne sais pas si c'était la meilleure solution. On peut m'octroyer, souvent à tort, des pouvoirs que je n'ai pas. Mon président est là, vous pouvez lui poser la question. C'est en relation avec le ministère et l'Etat. Bien ou pas bien ? Ce que je peux dire, c'est que ça doit rester un match de football. Sans ignorer ou faire abstraction du contexte politique très tendu. Mais ça doit rester un match de football. Je ne suis pas là pour juger, je n'ai pas mon mot à dire. On me tient au courant des évolutions, et à un moment c'est acté. Je ne suis pas partie prenante dans ce circuit de décision".
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