Karl-Johan Johnsson : « Je gère la situation de telle sorte que ce n’est que du football. Je suis heureux de faire ce métier » | OneFootball

« Lorsque nous avons commencé avec Strasbourg, il y avait beaucoup de pression. Le début de la saison était proche et ils voulaient me faire venir très rapidement. Je suis donc arrivé et je me suis entraîné le vendredi et le samedi, puis il y avait un match le dimanche. J’ai donc dû entrer en jeu immédiatement après une séance avec l’équipe. C’était très particulier. Mais j’ai réussi à faire un bon premier match, avec quelques beaux arrêts. Ensuite, lorsque vous prenez un si bon départ, cela se poursuit dans les autres matches ».

« Je me sens toujours comme un guerrier, alors j’essaie toujours de me frayer un chemin. Peu importe la situation. J’essaie toujours de faire de mon mieux à l’entraînement et ensuite, qui jouera le week-end… C’est à partir de là qu’il faut prendre les choses en main. Je me bats et tout peut arriver. Des blessures, des cartons rouges. C’est déjà arrivé dans d’autres clubs que j’ai fréquentés. J’essaie donc toujours de pousser l’équipe et Petrovic à faire le mieux possible. Maintenant que je suis plus âgé, il est clair que je gère la situation de telle sorte que ce n’est que du football. Je suis heureux de faire ce métier et d’avoir pu travailler pendant tant d’années. Le fait d’être ici aujourd’hui et de faire partie d’un Strasbourg ambitieux est très agréable ».

« C’est comme ça. On a toujours envie de jouer. Ensuite, cela va et vient au fil des semaines. Parfois, on a l’impression que c’est plus facile, parfois c’est un peu plus difficile. C’est ce que vous ressentez : « Cette fois encore, ce sera le banc ». Parfois, on est plus fatigué que d’autres jours, mais j’essaie de garder la tête haute et de continuer à travailler. Au bout du compte, j’espère que cela me rapportera quelque chose ».

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