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·31. Januar 2025
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·31. Januar 2025
Percuté de plein fouet par Antoni Milambo dès le début de la rencontre mercredi soir, face au Feyenoord, Lucas Chevalier est très légèrement gêné à l’épaule gauche. Pas de quoi entraver sa titularisation, ce samedi face à Saint-Étienne (21h05), dans un match qui revêt son lot d’importance sur bien des aspects pour le LOSC.
Juste après avec la famille et les proches. Mais finalement, on avait rendez-vous à 9 heures le lendemain matin (sourire). Ça reste compliqué de pousser le truc, on le fera peut-être un peu plus tard quand on aura un peu plus de temps. Chacun à sa manière a pu décompresser. On n’a pas le choix de repartir. Après ce genre de matches, tu dors très peu. C’est le cas pour tous les matches de 21 heures. Tu ne trouves pas le sommeil avant 4-5h avec l’adrénaline, on se refait les actions. En plus, j’ai l’habitude de faire une longue sieste l’après-midi. La récupération n’est pas optimale à ce moment-là, mais on compense ça dès le lendemain (sourire).
Je suis marqué, il (Antoni Milambo) s’est essuyé les crampons sur mon épaule, j’ai encore des petites douleurs sur quelques mouvements. Mais cela fait partie du jeu, je ne pense qu’il voulait faire mal. Cela se joue à rien, même s’il est en retard. Si je ne sors pas, c’est du un-contre-un et ç’aurait pu être différent. Il n’y a pas de problème. Si c’était à refaire, je le referai.
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La semaine sera assez similaire avec celle qu’on avait connu lorsqu’on avait affronté le Real Madrid. Il y avait eu une grande joie en milieu de semaine, puis un match à domicile contre une équipe moins bien classée (Toulouse) juste derrière. C’est une équipe pas trop bien classée, mais qui a changé de coach et a une façon différente de jouer. Nous, on se doit de gagner samedi et repartir de l’avant en championnat. Je me rappelle de la première mi-temps contre Toulouse, c’était très compliqué
Avec une atmosphère un peu différente que trois jours auparavant dans le stade, une fatigue physique ou mentale, un adversaire qui sera peut-être un peu plus bas que le Feyenoord, il faudra peut-être être plus patient. On ne mettra pas six buts tous les trois jours. C’est le foot : on est content, on fait de belles choses, mais le foot ne s’arrête jamais et on est obligé de remettre le couvert. Avec des adversaires et des contextes à chaque fois différents. Ce sera dur, mais on jouera pour gagner, sans oublier qu’on avait perdu au match aller. On a une revanche personnelle, on doit corriger cela. »
Propos recueillis par Enzo PAILOT
Crédits photo : Dave Winter /FEP/Icon Sport