« Mon dieu, c’était dur » : Adil Rami (ex-LOSC) découvre le Tour de France dans la douleur | OneFootball

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Le Petit Lillois

·12. Juli 2025

« Mon dieu, c’était dur » : Adil Rami (ex-LOSC) découvre le Tour de France dans la douleur

Artikelbild:« Mon dieu, c’était dur » : Adil Rami (ex-LOSC) découvre le Tour de France dans la douleur

Adil Rami a participé à la TikTok Cycling Race. Cette course opposait deux équipes d’influenceurs sur une étape du Tour de France. L’ancien joueur du LOSC, champion du monde 2018, a souffert sur les routes de la Grande Boucle.

Le grand départ du Tour de France a été donné le samedi 05 juillet dans les rues de Lille. Quelques jours plus tard, sur la sixième étape (Bayeux – Vire Normandie), la TikTok Cycling Race était organisée. Une vingtaine d’influenceurs étaient invités à concourir comme de vrais coureurs du Tour de France 2025 sur les 30 derniers kilomètres de l’étape, avec un passage par la Côte de Vaudry (4e catégorie).


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Deux équipes de dix

Il y avait d’un côté l’équipe bleue, appelée la KM0 cycling team et réunissant :

  • les soeurs cyclistes Laura Lavry et Orlane Lavry
  • le joueur de basket-ball Étienne Cá
  • le créateur de contenus Val Foot
  • le street rider PJ Martini Reno
  • le plongeur Alexis Jandard
  • Ouest France
  • le footballeur Adil Rami
  • le chef Juan Arbelaez
  • la joueuse de tennis Pauline Payet.

De l’autre, l’équipe jaune, la Gazier cycling team, composée :

  • des jumeaux créateurs de contenus Grégoire et Antoine de La Tête dans le Guidon
  • la joggeuse Joséphine Bayle
  • la cycliste Océane Demange
  • des représentants du club de basket-ball Paris Basketball
  • Eurosport France
  • Velopack
  • Harbat Running Lab
  • Amandine Petit, Miss France 2021
  • le photographe Mathis Dumas

Adil Rami malmené

Ancien pensionnaire du LOSC, Adil Rami (39 ans) n’a pas vécu l’après-midi la plus tranquille de sa vie : « C’était super méga archi plus plus dur. C’était trop dur, franchement, avouait-il en riant au micro des équipes d’Eurosport. C’est un univers que je ne connaissais pas et, sincèrement, un grand respect à tous les cyclistes professionnels et même à tous les cyclistes du monde. C’est une belle discipline. Au début, c’était bien. On prend du plaisir, mais quand il a fallu grimper… Mon Dieu, qu’est-ce que c’était dur ! », lâchait-il encore, avouant avec franchise avoir été bluffé par le phénomène d’aspiration : « On ne se rend pas compte quand on regarde à la télé, mais c’est la folie ! », s’exclamait-il, choqué.

Arrivé treizième à huit minutes du vainqueur, il ne faisait pas le fier lors du débrief, Adil Rami a été marqué par l’ambiance au bord des routes qu’il juge similaire à ce qu’il est possible de connaître dans un stade : « Quand j’étais dans la montée, j’ai senti que j’étais poussé par le douzième homme (sourire). La ferveur, le délire, l’ambiance, c’est une dinguerie, lançait-il. Je ne pensais pas qu’il y avait autant d’ambiance, autant de shows aussi avec tout ce que l’on peut voir en dehors de la course. C’est un vrai truc. Je suis vraiment content d’avoir eu la chance de vivre ce moment », concluait-il, avec le sourire malgré sa performance. Il disparaissait en promettant de se préparer s’il était invité une prochaine fois sur les routes de la Grande Boucle.

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