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·23. Oktober 2024

OL - Besiktas : pour le pire mais aussi le meilleur en 2017

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Entre l’OL et Besiktas, toutes les images renvoient aux affrontements en tribunes au Parc OL en 2017. Pourtant, cette opposition en quarts de Ligue Europa a été le théâtre d’un dénouement heureux pour les Lyonnais.

En voyant le nom de Besiktas apparaitre aux côtés de celui de l’OL, les dirigeants lyonnais, bien qu’absents en 2017, ont forcément eu la tête des mauvais jours fin août. Avec la nouvelle formule de la Ligue Europa, ils savaient très bien que les hommes de Pierre Sage pouvaient affronter n’importe qui. Seulement, s’ils avaient pu éviter Besiktas, ils n’en auraient pas été plus malheureux. Le tirage au sort et l’ordinateur l’ayant effectué en ont décidé autrement et l’OL a rapidement pris des mesures.

Si l’aspect économique va en pâtir jeudi soir avec uniquement 30 000 spectateurs au Parc OL, le club n’a pas souhaité revivre le chaos d’avril 2017. Un coup d’envoi retardé de 45 minutes, des supporters du virage sud obligés de se réfugier sur la pelouse pour esquiver les bombes agricoles jetés par les supporters turcs et une multitude d’affrontements entre Lyonnais et Stambouliotes avant même le coup d’envoi. Ces scènes ont marqué tout un chacun et restent un gros point noir dans l’histoire récente de l’OL.


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La délivrance de Gonalons, la joie de Tolisso

Seulement, à l’heure de recevoir de nouveau le club turc, les supporters et la direction préfèrent certainement retenir le positif d’il y a sept ans. Car, si les incidents ont accaparé l’actualité et l’accaparent encore à vingt-quatre heures du match, la double confrontation avait tourné à l’avantage de l’OL et notamment cette séance de tirs au but épique à Istanbul.

Après une victoire aux forceps (2-1) à Décines en quarts de finale aller (Tolisso 83e, Morel 84e), les Lyonnais avaient accueilli par une atmosphère hostile au Beşiktaş Park et s’étaient inclinés 2-1, poussant les deux équipes à une prolongation puis les tirs au but. Tout le monde se rappelle encore la délivrance venue de Maxime Gonalons et de cette scène de joie collective avec un Corentin Tolisso en transe devant les supporters turcs. Sept ans plus tard, le milieu retrouvera le club turc, mais pas son public.

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