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·30. März 2025

OM : après Rabiot et Rulli, Rongier achève à son tour ses coéquipiers

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L'Olympique de Marseille a sombré hier après-midi sur la pelouse du Stade de Reims (3-1). Après Adrien Rabiot et Geronimo Rulli, c'est Valentin Rongier qui a poussé une énorme gueulante après cette troisième défaite de rang en L1.

Rien ne va plus à l'Olympique de Marseille. Battu pour la troisième fois consécutive en championnat hier après-midi à Reims (3-1), il n'est plus que troisième de Ligue 1 suite à la victoire de Monaco contre Nice (2-1). Totalement hors du coup à Auguste-Delaune, la bande à Roberto De Zerbi est en train de sombrer et Adrien Rabiot et Geronimo Rulli ont tenu à tirer la sonnette d'alarme. En zone mixte après la rencontre, Valentin Rongier, le buteur marseillais du match, a aussi été on ne peut plus cash, pointant du doigt l'attitude de ses coéquipiers.


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"On va parler que du match de ce soir, parce que pour moi, la défaite au Parc… OK, on a fait ce qu’on a pu. Le contenu du match contre Lens, il était très cohérent dans l’attitude et tout. Mais aujourd’hui, c’est l’attitude qui a pêché, c’est tout, en fait. Parce qu’on peut perdre des matchs de foot, on connaît la difficulté du football professionnel. Mais quand on est l’OM et qu’on a envie d’atteindre notre objectif, qui est d’aller en Ligue des champions et de terminer deuxième, on ne peut pas se permettre d’avoir une attitude comme ça sur des matchs aussi importants" a-t-il regretté.

Rongier pointe du doigt un problème d'attitude !

Il a ensuite poursuivi : "Pour moi, ça part de là. Ça part de là, quand on commence un match et qu’on perd les duels, les deuxièmes ballons… Dans le foot de haut niveau, on ne peut pas exister. Que ce soit une équipe de National, Reims, le PSG ou une autre équipe, c’est la même chose. Il faut avoir cette envie de « tuer » l’adversaire, il faut avoir cette envie de gagner tous les duels. Et aujourd’hui, pour moi, dans les courses, dans les efforts, dans la mobilité, on n’y était pas. Et c’est ça. C’est pour ça que je vous dis : je ne comprends pas pourquoi, quand on a cet objectif-là — qui est la Ligue des champions au Vél’ avec l’OM — je ne comprends pas. Je pense que perdre 3-1 aujourd’hui (samedi), forcément, c’est inquiétant. Maintenant, il reste encore sept matchs. Ce n’est pas un discours politique que je suis en train de vous faire. Mais on a cette chance de pouvoir se rattraper. J’espère vraiment qu’on va vite, vite gommer ça. Et qu’on va repartir de l’avant, avec la tête haute. En travaillant surtout, et en étant très humbles. Parce que là, il faut qu’on fasse profil bas, qu’on se remette à travailler et qu’on montre un visage différent."

Enfin, il a conclu : "On n’a jamais dit que c’était acquis (la 2e place). On n’a jamais dit ça, je vous le répète. Mais on connaît la difficulté de la Ligue 1, du foot de haut niveau. Maintenant, si on ne change pas d’attitude, oui, le classement… forcément. Mais on sera à la place qu’on mérite. Là, pour l’instant, je pense qu’on ne l’a volée à personne, cette place-là. Si on termine deuxièmes, c’est qu’on l’aura méritée. Mais pour ça, il faut montrer autre chose."

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