OM : une autre mise à l’écart douloureuse révélée ! | OneFootball

Alors que l'OM traverse de vraies secousses ces derniers jours avec l'épisode Rabiot – Rowe, on apprend qu'un autre nom important du club a été mis de côté dernièrement...

Vendredi soir, à Rennes, la tension a explosé dans le vestiaire olympien. Battus (1-0) malgré leur supériorité numérique, les Marseillais sont rentrés frustrés. Jonathan Rowe, déjà fragilisé par son statut de joueur « à vendre », aurait giflé Adrien Rabiot, tête d’affiche du projet marseillais. Les deux hommes ont fini front contre front, leurs coéquipiers et le staff peinant à les séparer.

Devant l’ampleur de l’incident, la direction du club a décidé de frapper fort : exclusion provisoire du groupe professionnel pour les deux joueurs, avec l’idée de rappeler que certaines attitudes ne seront pas tolérées. Le club envisagerait même de leur demander un don à la fondation OM en guise d’excuses.

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Ravanelli écarté du secteur sportif

Une sanction qui illustre une nouvelle fois l’instabilité chronique qui mine le club. Dans un édito ce mardi dans la Provence appelé « Hara-Kiri Football Club », le journaliste Alexandre Jacquin rappelle que l’OM dispose pourtant de nombreux atouts : un effectif composé de cadres expérimentés (Rabiot, Höjbjerg), de talents techniques (Greenwood), un entraîneur reconnu (De Zerbi), une direction compétente (Longoria, Benatia) et un public unique. Mais la récurrence des crises internes empêche toute sérénité.

Mais surtout, au milieu de la description de ce chaos, un autre nom refait surface : Fabrizio Ravanelli. Comme l'explique le journaliste, l’ancien attaquant, revenu l’an passé comme conseiller sportif, avait été célébré en interne comme « l’homme à tout bien faire ». Moins d’un an plus tard, il a pourtant été discrètement écarté du secteur sportif.

Un sort qui rappelle celui de Jean-Pierre Papin, Ballon d’Or 1991, également reparti après une expérience douloureuse. Ces départs symbolisent l’incapacité de l’OM à capitaliser sur ses icônes, préférant multiplier les changements d’organigrammes plutôt que de miser sur la continuité. Dans ce climat électrique, chaque faux pas devient une crise.

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