Seattle Sounders/PSG – Luis Enrique en conf : Qualification, pelouse et conditions | OneFootball

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·24. Juni 2025

Seattle Sounders/PSG – Luis Enrique en conf : Qualification, pelouse et conditions

Artikelbild:Seattle Sounders/PSG – Luis Enrique en conf : Qualification, pelouse et conditions

Le Paris Saint-Germain s’est imposé 0-2 face aux Seattle Sounders (résumé vidéo Seattle Sounders/PSG) ce lundi au Lumen Field dans le cadre de la 3e journée de la Coupe du Monde 2025. Après ce match, l’entraîneur parisien Luis Enrique s’est exprimé en conférence de presse.

Enrique «C’est toujours agréable de voir des équipes d’autres pays»

«Nous n’avons pas bien commencé le match, mais nous avons mérité le résultat. Je suis content, nous pouvons améliorer quelque chose. Ce n’est pas facile, il est difficile d’avoir la fluidité sur le terrain, c’est différent qu’en Europe, mais nous essayons de nous adapter.


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C’était un match difficile. Seattle a bien joué, avec intensité. J’ai aimé la façon dont ils ont joué. C’était bon à voir. M. Schmetzer est un grand entraîneur. C’est une équipe très bien travaillée. C’est toujours agréable de voir des équipes d’autres pays. Je les félicite parce qu’ils ont concouru et qu’ils nous ont rendu la tâche difficile.»

Enrique «On est loin des stades européens»

«Ce qui compte, c’est l’état du terrain. Et je le dis aujourd’hui, même si nous avons gagné. On est loin des stades européens. Ils sont bien, mais le ballon rebondit comme un lapin.

Aujourd’hui, comme c’était un terrain artificiel avant, et maintenant un terrain naturel, il faut l’arroser à la main et il sèche en 10 minutes. C’est un problème évident ; ce n’est pas une excuse.»

Enrique «Nous jouons dans des stades où le ballon ressemble plus à un lapin»

«On ne peut pas jouer au niveau souhaité. Et la FIFA doit en tenir compte. Non seulement dans les stades, mais aussi lors des camps d’entraînement. Je n’imagine pas un terrain NBA avec des trous.

Nous jouons dans des stades où le ballon ressemble plus à un lapin qu’à une balle. Si nous devons critiquer, cela mérite d’être changé. »

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