Alain Bauderon : “Maintenant, il faut attendre autre chose sur ce qui reste de la pelouse du stade Atlantique” | OneFootball

Alain Bauderon : “Maintenant, il faut attendre autre chose sur ce qui reste de la pelouse du stade Atlantique” | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·6 September 2025

Alain Bauderon : “Maintenant, il faut attendre autre chose sur ce qui reste de la pelouse du stade Atlantique”

Article image:Alain Bauderon : “Maintenant, il faut attendre autre chose sur ce qui reste de la pelouse du stade Atlantique”

Sur Bordeaux Sports, le journaliste Alain Bauderon s’est projeté sur la suite, après cette victoire des Girondins de Bordeaux à Châteaubriant (1-3).

« Une victoire, cela fait toujours du bien. Est-ce que cela peut être détonateur de quelque chose… Il n’est pas question d’encenser l’équipe, de croire qu’on est arrivés, parce que la saison est très longue, tout comme lors des deux premières journées on disait que ce n’était pas terrible et qu’on était inquiets… On espérait que ça ne dure pas toute la saison. Là, on lance un peu notre saison. Maintenant, il faut attendre autre chose sur ce qui reste de la pelouse du stade Atlantique. On verra si l’on peut récidiver ce genre de prestation sur la pelouse telle qu’elle st aujourd’hui ».

Il y aura cependant l’état de la pelouse à prendre en compte samedi face à Saumur.


OneFootball Videos


« On ne va pas accuser, il y a le champignon… Au Parc des Princes, eux aussi ont eu des soucis, alors que c’est considéré comme l’une des meilleures pelouses de France… Est-ce que quand même, il n’y a pas eu quelques petits ratés, avec notamment le changement, la Métropole qui reprend en régie… ».

Laurent Brun n’est pas de cet avis.

« Je ne pense pas, il a fait trop chaud, et on n’est pas habitués à gérer ce genre de canicule, surtout quand cela dure 4-5-6-7 jours d’affilée. C’est pareil partout, dans nos clubs de village… C’est tombé sur une transition (de gestion), peut-être qu’il y avait du personnel absent, je n’en sais rien, mais ne n’incrimine pas les jardiniers. En revanche, peut-être qu’on ne l’a pas anticipé. Je les vois travailler gars après les matches, et dès le coup de sifflet final ils commencent à travailler, donc ça bosse. J’insiste, vous ne pouvez rien faire quand il fait 40 degrés. Ou alors on part du principe qu’on va avoir des étés comme ça de plus en plus, et on essaye d’anticiper ça pour combattre ce champignon. S’il y a récurrence, par définition, ce ne seront plus des épiphénomènes, donc il faudra que tout le monde prenne la chose à bras le corps, pour faire quelque chose en amont ».

View publisher imprint