Andy Carroll : « En Angleterre, vous entendez toutes les s*** à votre sujet… Je ne sais vraiment pas pourquoi il y a toujours eu cette fascination pour moi » | OneFootball

Andy Carroll : « En Angleterre, vous entendez toutes les s*** à votre sujet… Je ne sais vraiment pas pourquoi il y a toujours eu cette fascination pour moi » | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·27 October 2024

Andy Carroll : « En Angleterre, vous entendez toutes les s*** à votre sujet… Je ne sais vraiment pas pourquoi il y a toujours eu cette fascination pour moi »

Article image:Andy Carroll : « En Angleterre, vous entendez toutes les s*** à votre sujet… Je ne sais vraiment pas pourquoi il y a toujours eu cette fascination pour moi »

Pour The Athletic, Andy Carroll, l’attaquant des Girondins de Bordeaux, se plait aussi en France parce qu’il y a moins de médiatisation le concernant, notamment par rapport aux tabloïds anglais.

« Si j’avais envie de ne pas être sous les feux de la rampe ? Vous avez mis le doigt sur le problème. On parle beaucoup de moi dans la presse, même aujourd’hui. C’est une constante. C’était comme ça : ‘Éloignez-moi de tout cela ! Laissez-moi profiter de ma vie, jouer au football et être heureux sans ouvrir les journaux et voir quelque chose à mon sujet’. Tous ceux qui me connaissent, qui savent qui je suis… Je suis une personne heureuse. J’aime rire, jouer au football, sourire. Lorsque vous lisez et entendez des choses, que vous sortez en Angleterre et que vous entendez toutes les s*** à votre sujet… Ce n’est pas amusant. Ni pour moi, ni pour ma famille, ni pour mes amis. Je me suis donc dit qu’il valait mieux m’éloigner de tout cela et aller m’amuser ailleurs, en faisant exactement ce que je faisais à la maison, mais sans les s*** ».

Loin de l’Angleterre, il revit.


OneFootball Videos


« Si j’ai le sentiment de m’être échappé ? Oui, à 100%. Chaque fois que je vais en Angleterre, le manager me dit : ‘Oh, encore la une des journaux’. Je suis rentré trois fois et à chaque fois, il y a un article dans le journal. Je ne peux pas m’y soustraire. Ici, je peux me promener à Amiens, je peux descendre à Bordeaux, je peux aller à Paris, à Cannes ou n’importe où. C’est relaxant, c’est paisible. On peut aller boire un café, une bière, dîner, faire du shopping, et c’est juste moi qui suis moi […] Je ne sais vraiment pas pourquoi il y a toujours eu cette fascination pour moi. Cela fait partie de ma vie depuis que je suis devenu professionnel à 17 ans. C’est frustrant pour un joueur d’essayer de faire de son mieux et que tout le monde essaie de le rabaisser autour de lui. C’est difficile. Vous allez dans des endroits sombres et vous pensez à de mauvaises choses. Vous ne le voulez vraiment pas, mais cela vous enferme et vous met dans un petit trou ».

View publisher imprint