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·17 July 2025

Dier : « Je ferai des erreur aussi »

Article image:Dier : « Je ferai des erreur aussi »

Un des rares trentenaires de l’effectif – Eric Dier – a été interrogé par Monaco Matin et L’Equipe, sur ses « terres » en Angleterre, où l’AS Monaco est en stage actuellement.

Recrue estivale la plus opérationnelle, actuellement, il était malade pour le premier match amical face au Cercle Bruges mais sur le terrain, en seconde mi-temps, pour le deuxième match amical face à Coventry City. Fraîchement débarqué du Bayern, il conserve quelques traces de son passage bavarois – son poignet en convalescence – et surtout un premier titre dans son escarcelle.


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Avant que commence véritablement la saison, quelques doutes subsistent quant à sa prétendue lenteur aux côtés notamment d’un Thilo Kehrer : « Avec le Bayern, j’ai souvent évolué face à des adversaires qui nous attendaient en position basse, ça vous pousse à trouver des solutions. J’aime jouer dans le camp adverse et savoir être agressif à la perte du ballon pour le récupérer vite. […] Il faut savoir anticiper. Etre en mesure de réagir rapidement, c’est assez primordial actuellement. » Sens de l’anticipation et bon placement, les clefs pour éviter des cadeaux, des erreurs individuelles monumentales de la saison dernière ? « Je ferai des erreurs aussi. Tout le monde en fait. Après, peut-être que j’aiderai à mieux les digérer. S’il y a une chose que j’ai comprise dans ma carrière, et c’est l’une des plus importantes pour faire la différence, c’est de savoir comment réagir pour rebondir après avoir commis une erreur. »

Celui qui donne beaucoup de valeur à l’apprentissage d’une langue devrait très rapidement répondre en français pour ses prochains interviews et endosser le rôle de grand frère ou plutôt d’exemple. Comme le club, il ambitionne de faire mieux dans toutes les compétitions cette année. Et ce sera en défense centrale, s’il persistait encore un doute, comme l’indique les modèles de sa jeunesse : « Enfant, je n’avais pas d’idole dans le foot, mais j’aimais beaucup Nemanja Vidic, Gerard Piqué ou Rafael Marquez lorsqu’il était à Barcelone (et pas à Monaco ?). Quand je suis devenu pro, j’ai gardé ce que les autres défenseurs m’ont inculqué. A Tottenham, plus jeune, Jan Vertonghen et Toby Alderweireld m’ont beaucoup appris. Au Bayern Munich, l’année dernière, l’entraîneur Vincent Kompany m’a beaucoup aidé sur des détails, que ce soit dans le positionnement, les solutions à trouver avec le ballon, les mouvements. »

Source : Monaco Matin & L’Equipe / Photo : Laurent Coust – Icon Sport

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