Fabrice Pancrate : « Avant le PSG, Bordeaux est là. Et Bordeaux, ça ne me laisse pas indifférent… » | OneFootball

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·18 December 2024

Fabrice Pancrate : « Avant le PSG, Bordeaux est là. Et Bordeaux, ça ne me laisse pas indifférent… »

Article image:Fabrice Pancrate : « Avant le PSG, Bordeaux est là. Et Bordeaux, ça ne me laisse pas indifférent… »

L’ancien attaquant, Fabrice Pancrate, s’st confié sur les clubs intéressés par ses services, avant qu’il ne rejoigne le Paris Saint-Germain.

« Ce que j’ai comme propositions avant le PSG ? Bordeaux. Bordeaux est là, et est très bien. Mais avant, c’est Toulouse. Le Président refuse l’offre d’un million d’euros… J’ai la haine. Il se passe peut-être trois semaines avant que le PSG se manifeste. L’ostéopathe du Mans, c’était aussi l’ostéopathe du PSG. Il allait là-bas deux ou trois jours dans la semaine pour aller voir les joueurs du PSG. Quand Vahid cherche un joueur côté droit, il valide trois noms, et mon nom y est. L’ostéo lui dit ‘lui, là, prends-le direct. C’est un bon mec, il a un bon état d’esprit, et c’est un très bon joueur’. Il y avait Achille Emana avec qui j’étais en concurrence, qui était à Toulouse, mais comme ils sont restés en Ligue 1, j’étais certain qu’ils n’allaient pas le lâcher. Il y avait aussi un joueur étranger qui venait via Alain Roche… Et donc Vahid lui a fait confiance. Mes jambes tremblaient, je disais à mon agent qu’il mentait… Et là, les jours sont comptés… C’est mon meilleur choix de carrière, même si le grand Lyon arrive sur la fin. A trois jours du mercato, je suis dans le bureau avec Graille, Halilhodzic, et Alain Roche qui sont venus de Paris jusqu’au Mans… Quand j’ai Alain Roche au téléphone juste avant ça, il me demande si Bordeaux c’est vrai… Je lui réponds que Bordeaux, ils sont là depuis longtemps. J’ai donné ma parole, mais Bordeaux, ça ne me laisse pas indifférent… Et je lui ajoute que Lyon est aussi là. Il me dit ‘attends’. Là, les trois arrivent au Mans. Je dis à Alain que j’ai donné ma parole, mais que cela fait un mois et demi qu’il ne se passe rien… A Bordeaux, Triaud avait appelé le Président, et ils ont déjà envoyé une offre… Bordeaux, ça ne me laisse pas insensible. Quand je lui ai dit ça, il a senti que… Mais c’était Paris d’abord ».

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