Josuha Guilavogui : “Je l’ai vécu moins de six mois à Bordeaux. Je peux te dire que ce n’est plus le même football. C’est presque une psychose” | OneFootball

Josuha Guilavogui : “Je l’ai vécu moins de six mois à Bordeaux. Je peux te dire que ce n’est plus le même football. C’est presque une psychose” | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·3 July 2025

Josuha Guilavogui : “Je l’ai vécu moins de six mois à Bordeaux. Je peux te dire que ce n’est plus le même football. C’est presque une psychose”

Article image:Josuha Guilavogui : “Je l’ai vécu moins de six mois à Bordeaux. Je peux te dire que ce n’est plus le même football. C’est presque une psychose”

Pour Dessous de Verts, l’ancien milieu de terrain et capitaine des Girondins de Bordeaux, Josuha Guilavogui, s’est exprimé sur la difficulté de jouer le maintien, comme ce fut le cas à Wolfsburg et surtout au FCGB. Il prit aussi le cas de son club formateur, l’AS Saint-Etienne, qui a lutté la saison dernière et qui a fini par descendre en Ligue 2.

« Avec le rachat, on a peut-être eu les yeux plus gros que le ventre, on s’est cru sortis d’affaire, qu’on n’aurait plus jamais à retourner en Ligue 2… C’est pour ça que je tire mon chapeau à Roland Romeyer et Bernard Caïazzo, mais surtout à Roland dont j’étais le plus proche. Ce n’est pas facile quand tu as quelqu’un qui met beaucoup de son temps, de son amour, de son argent. Je lui tire mon chapeau, ce n’est pas anodin, et on voit bien que dans le football ce n’est pas facile d’avoir su succès ».

Puis, il parla spécifiquement du maintien.


OneFootball Videos


« Je l’ai vécu deux années à Wolfsburg. Je l’ai vécu moins de six mois à Bordeaux. Je peux te dire que ce n’est plus le même football. Ce n’est plus le même football, tu te mets à faire des contes/comptes, à imaginer… C’est presque une psychose. Je pense que dans la vie, imaginez le pire c’est la pire des choses qui peut t’arriver… Imaginer le meilleur, c’est très bien, parce que ça te pousse, ça te donne des ailes, mais imaginer le pire… Tu traines un boulet, c’est un lourd fardeau, et ça change un homme. Le football, même si tu ne le ramènes pas à la maison, intrinsèquement tu es footballeur… Donc quand tu n’es pas heureux dans ton métier… Et c’est un métier à émotions ».

View publisher imprint