La presse française juge Vitinha après l’Inter Miami | OneFootball

Le Paris Saint-Germain s’est qualifié en quarts de finale de la Coupe du monde des clubs ce dimanche soir, après sa victoire nette et sans bavure contre l’Inter Miami (4-0). Titulaire aux côtés de Ruiz et Neves, Vitinha a été l’auteur d’une nouvelle performance de haut niveau. Passeur décisif sur l’ouverture du score de son compatriote, l’ancien joueur du FC Porto a été la plaque tournante de son équipe et n’a eu que très peu de déchet (96% de passes réussies), au point même d’énerver Léo Messi. Découvrez les notes et les commentaires qu’il a reçus dans la presse française.

Foot Mercato (8,5) : « C’est lui qui a dicté le tempo de la rencontre ce dimanche. Étincelant techniquement, le Portugais s’est rendu très disponible et a avalé un nombre incalculable de kilomètres. Recherchant à faire progresser le jeu de manière constante, Vitinha a donné le tournis à ses adversaires en grattant plusieurs ballons et en orientant toujours le jeu là où il le souhaitait. Passeur décisif pour l’ouverture du score de Joao Neves, l’ancien de Porto a fait parler sa grande qualité technique sur de nombreuses passes impressionnantes. Un match assez exceptionnel face à, il faut le dire, des adversaires ridicules. »

So Foot (8) : « ‘Non seulement tu es faible, mais en plus, tu me fais mal.’ Une chose est sûre, Lionel Messi ne fera jamais un bon consultant. »

L’Équipe (8) : « Son coup franc pour trouver Neves, travaillé à l’entraînement, est un modèle du genre (6e). Le faible pressing adverse lui a laissé tout loisir pour distribuer et lancer les actions, toujours bien orienté pour éviter toute prise de risques. Son ouverture pour Barcola sur le 4e but est splendide (45e + 3) et celle pour Doué tout autant (58e). »

Le Parisien (7,5) : « La sentinelle continue d’être une régularité folle dans ce tournoi. Pas embêté par l’absence de pressing adverse, il a pu dérouler sa partition et trouver des passes délicieuses, à l’image de ses deux services parfaits pour Barcola (45e + 3, 58e), ou de son offrande pour Neves (6e). Le Portugais est vraiment essentiel dans l’orientation du jeu parisien. »

Photo by Harry How/Getty Images