Le 30 ? Pourquoi Lucas Chevalier (LOSC) portera-t-il toujours ce numéro de maillot ? | OneFootball

Le 30 ? Pourquoi Lucas Chevalier (LOSC) portera-t-il toujours ce numéro de maillot ? | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Le Petit Lillois

Le Petit Lillois

·28 December 2024

Le 30 ? Pourquoi Lucas Chevalier (LOSC) portera-t-il toujours ce numéro de maillot ?

Article image:Le 30 ? Pourquoi Lucas Chevalier (LOSC) portera-t-il toujours ce numéro de maillot ?

Invité de l’émission nommée Le Studio des Légendes, diffusée sur Europe 1 chaque vendredi, Lucas Chevalier a justifié le port du numéro 30, qu’il porte depuis ses débuts au LOSC.

Depuis la fin des années 90′, et plus précisément à partir de 1997, les joueurs de football sont dans l’obligation de porter un numéro de maillot unique durant toute une saison. Voilà que plus de vingt ans plus tard, Lucas Chevalier défend les couleurs du LOSC avec le numéro 30 dans son dos. Ce dernier est inhabituel pour un gardien de but, poste pour lequel le 1 est un choix plus traditionnel, et frustre Jacques Vendroux, animateur de l’émission dans laquelle s’est retrouvé le portier lillois ce vendredi.


OneFootball Videos


« Le 1, c’est comme tout le monde, rétorquait instinctivement Lucas Chevalier. C’est le gardien à part entière, son numéro de base. En fait, quand je suis arrivé chez les professionnels, on m’a attribué le numéro 30 et je me suis dit que c’était marrant. D’abord, je trouve que c’est un numéro de gardien qui est beau, qui me plaît, mais je me suis rendu compte, ce n’était pas calculé à l’avance, que ça correspondait à l’addition des jours de naissance de mon frère et de moi-même. Je suis né le 06 novembre, mon frère le 24 septembre. Comme par hasard… Vous faites l’addition et ça fait 30. Je me suis toujours dit que j’allais garder ce numéro. Il n’y a pas de hasard, c’est comme ça. Je l’ai gardé et je pense que je vais le garder jusqu’à la fin. Je ne pourrais pas jouer avec un autre numéro, à l’exception de la Coupe de France. Cela fait aussi partie des choses qui font partie de moi, de mon bien-être, de ma confiance sur un terrain », explique celui qui évolue chez les professionnels depuis quatre saisons désormais.

Cela ne se rapporte cependant pas à de la superstition, sujet qu’il balaye d’un revers de main : « J’ai une routine à l’entraînement, avant les matchs. On fait souvent les mêmes choses, les mêmes gestes, mais je refuse de dire que si je n’ai pas fait ça, je ne vais pas être bon. Ce serait trouver des excuses pour rien. S’il se passe quelque chose dans mon déroulé habituel, je me reconcentre et ce n’est pas grave. Il ne faut pas se dire que c’est à cause de ça que je ne serai pas bon », s’exclame ainsi Lucas Chevalier.

View publisher imprint