OL : magnifique nouvelle pour Aulas après son intervention auprès de la DNCG | OneFootball

Jean-Michel Aulas, le vice-président de la FFF, a appris une très bonne nouvelle après son intervention auprès de la DNCG pour sauver la peau de l'Olympique lyonnais. Le président emblématique de l'OL va désormais pouvoir aller de l'avant avec la satisfaction du devoir accompli.

Le conseil de surveillance de la Fédération Française de Football n'avait visiblement pas apprécié l'intervention de Jean-Michel Aulas pour sauver l'Olympique lyonnais des griffes de la DNCG. Il y a quelques semaines, l'emblématique président de l'OL avait confié avoir oeuvré en interne pour permettre au club rhodanien de sauver sa peau.

"J'ai fait tout ce que j'ai pu pour aider. La DNCG m'a demandé si les gens qui avaient travaillé dans le passé sur les dossiers OL pouvaient être disponibles. Je crois que Michele (Kang, nouvelle présidente de l'OL) a trouvé des solutions de ce côté-là. Chaque fois que j'ai pu donner des conseils à Michele, je l'ai fait, mais aussi en essayant de montrer tous les actifs de l'OL qui sont importants. J'ai aidé pour que Lyon reste à sa place, en Première Division. Michael (Gerlinger, directeur général de l'OL), qui est aussi un ami, est quelqu'un de très compétent donc c'est une grande nouvelle" avait-il déclaré pour L'Equipe.

Une saisine contre Aulas classée sans suite

Des propos qui lui avaient valu une saisine de la part du conseil de surveillance de la FFF, qui avait fait appel à la Commission de l'éthique. La raison ? En qualité de vice-président de la FFF, cette fonction ne lui permettait pas d'intervenir dans ce dossier et qu'il y avait eu un manquement aux règles de déontologie.

Michele Kang, la nouvelle présidente du club, avait cependant tenu à mettre les points sur les i : "Jean-Michel Aulas nous a soutenus mais étant vice-président de la FFF, il y avait une notion d'indépendance à respecter et il n'a pas participé à nos échanges car il y aurait eu conflit d'intérêts" avait-elle tenu à rappeler afin de voler au secours de "JMA".

Le CNE a ainsi décider de classer sans suite cette saisine, considérant que la déclaration d'Aulas "pour maladroite qu'elle soit, ne saurait être regardée comme constituant un manquement aux principes d'éthique et de déontologie". Une bonne nouvelle pour Aulas, qui va pouvoir regarder de l'avant tout en ayant la satisfaction d'avoir participé au sauvetage de son club de cœur.

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