OM : "Il faut toujours être humble", rappelle Roberto De Zerbi après la victoire à Strasbourg | OneFootball

Découvrez la réaction de Roberto De Zerbi, entraîneur de l'Olympique de Marseille, après la courte victoire sur la pelouse du Racing Club de Strasbourg Alsace (2-1) vendredi soir lors du premier match de la sixième journée de la Ligue 1.

Un scénario renversant. Vendredi soir, l'Olympique de Marseille s'est imposé sur la pus petite des marges sur la pelouse du Racing Club de Strasbourg Alsace lors du premier match de la sixième journée de la Ligue 1 (2-1). Grâce à ce succès, le club phocéen s'installe provisoirement en tête du classement avec douze points, à égalité avec l'AS Monaco (deuxième), le Paris Saint-Germain (troisième), l'Olympique Lyonnais (quatrième) et le club alsacien (cinquième), promettant une lutte intense en haut du tableau.

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De Zerbi salue le rôle des entrants

En conférence de presse d'après-match, l'entraîneur marseillais Roberto De Zerbi est revenu sur la prestation de son équipe, reconnaissant un début de match timide : "On a commencé le match doucement. Strasbourg est une équipe jeune, avec une identité précise. Nous avons eu des occasions. Il y avait le potentiel pour créer autre chose. On prend un but, c'est un cadeau qu'on leur fait." Il a ensuite souligné l'impact décisif des changements : "Les entrées ont permis de changer le match." Pour le technicien italien, cette victoire est cruciale car elle permet d'éloigner les doutes sur les performances hors de ses bases : "Ça commençait à m'agacer. Je veux qu'on soit bon à Lyon, au Parc ou à Strasbourg." Il insiste sur la nouvelle dynamique : "Il y a eu un engouement avec les recrues. Depuis, ce sont trois victoires avec un seul but encaissé."

Une concurrence positive

Même si l'OM est provisoirement leader, De Zerbi a insisté sur l'humilité nécessaire et a mis en garde contre tout relâchement : "Le Marseille d'août n'est pas encore loin. On ne peut jamais se relâcher, il faut toujours être humble. Il ne faut jamais oublier le match contre Rennes, Lyon. C'était différent contre le PSG. Ce n'est pas le résultat qui change les choses. Si on n'avait pas gagné ce soir, j'aurais été heureux quand même. Ce n'était pas un match en claquettes ce soir." Enfin, l'entraîneur a évoqué la saine concurrence entre ses attaquants : "Il n'y a pas de problème, c'est une concurrence positive. C'était un match important, comme celui de mardi (contre l'Ajax). J'essaie de faire des choix logiques. Je suis content des deux joueurs. C'est une victoire du club, c'est une équipe forte."

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