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·8 November 2025
OM - Roberto De Zerbi analyse le succès face au Stade Brestois et revient sur la passe compliquée de l'OM

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·8 November 2025

La réaction de Roberto De Zerbi, entraîneur de l'OM, après la victoire face au Stade Brestois 29 (3-0, J12 L1).
Ce samedi après-midi, devant ses supporters du Stade Vélodrome, l'Olympique de Marseille n'a fait qu'une bouchée du Stade Brestois 29 (3-0, analyse et notes), lors de la 12ème journée de Ligue 1. Au micro de beIN SPORTS, Roberto De Zerbi (46 ans), l'entraîneur phocéen, s'est exprimé après ce beau succès.
"Ça a été trois semaines très difficiles. On a joué mercredi et samedi, mercredi et samedi encore. Tout change. On n'a pas très bien joué contre Angers SCO, contre l'Atalanta, à Auxerre pareil. Ce soir (Ndlr, cet après-midi), on a très bien joué. Je pense que sur les dernières semaines on a eu moins que ce que l'on méritait, on n'a pas eu beaucoup de chance. Maintenant, on va en trêve internationale. On est premiers ce soir, il faut le rappeler car peut-être que quelqu'un l'oubliera", a tout d'abord indiqué le technicien italien.
"Le match face au Stade Brestois ? Je suis très ravi du jeu proposé ce soir (Ndlr, cet après-midi), j'ai pris beaucoup de plaisir. On sait jouer au football, parfois ça marche, parfois non. Il faut qu'on comprenne pourquoi on n'y arrive pas tout le temps. C'était presque la même équipe que contre Angers SCO. Parfois, ça arrive de mal jouer. L'équipe d'aujourd'hui est une équipe forte. L'équipe est globalement forte. Il y a un aspect physique très important, il faut des joueurs assez forts. Je veux garder la balle, faire le jeu, être rapide dans le jeu, comme aujourd'hui", a ajouté le tacticien transalpin.
"Un vrai match d'équipe ? C'est difficile à expliquer la différence entre mercredi et aujourd'hui. On aurait pu mieux jouer mercredi. À Marseille, il se passe des choses très compliquées à expliquer. Quand on joue ici, c'est une chance mais il ne faut pas rater la moindre occasion. C'est comme si ça nous bloquait en tant que joueur, et parfois ça arrive", a conclu Roberto De Zerbi.









































