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·15 September 2025
PSG/Lens – Sage souligne la « frustration » et les problèmes tactiques posés par Paris

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·15 September 2025
Le Paris Saint-Germain et Lens s’affrontaient ce dimanche au Parc des Princes dans le cadre de la 4e journée de Ligue 1 2025-2026. Une rencontre qui s’est terminée avec une victoire parisienne 2-0 (résumé vidéo PSG/Lens). Après cette rencontre, le coach de l’équipe lensoise Pierre Sage s’est exprimé en conférence de presse. Il a regretté l’inefficacité de son équipe, sans oublier la progression dans la création d’occasions ni les soucis à affronter face à Paris sur le plan tactique.
Pierre Sage, est-ce qu’il y a un peu de frustration à l’issue d’un match comme ça ?
Il y a la frustration de ne pas avoir rivalisé dans le résultat, en manquant les différents virages qu’on aurait pu prendre dans ce match. Pour ouvrir la marque, revenir au score ou réduire le score à la fin. C’est cette frustration là. Mais aujourd’hui, il y a aussi la conscience qu’on a fait un match pour exister dans ce match-là.
Mais la première partie de la réponse fait qu’on est un peu déçus, parce qu’on se retrouve toujours confrontés à la même réalité.
C’est toujours ce problème offensif, de dernier geste ou d’avant-dernier geste…
Oui, mais dans tous les cas, on se crée des situations, et on va continuer à s’en créer. On en crée de manières différentes en plus, donc ça ouvre le champ des possibles. Maintenant, on va réussir à marquer plus de buts. On a réussi déjà à en marquer cinq en quatre matchs, donc il faut qu’on réussisse à augmenter la moyenne.
Dans le registre de la frustration, est-ce qu’il manque un penalty sur Florian Thauvin ?
Je ne sais pas. De toute manière, vous savez ma position par rapport à ça : si l’arbitre a pris cette décision, c’est que c’est la bonne.
Sur le plan collectif, êtes-vous satisfait de la mise en place ?
Oui, même si on a souffert pendant une quinzaine de minutes sur notre côté droit, là où il y avait Bradley Barcola. Pas seulement sur les deux buts qu’il a mis, mais aussi parce qu’avec Lee, ils savaient se répartir : parfois l’un dans le couloir intérieur, l’autre dans la largeur, et de temps en temps les deux étaient dans la largeur.
C’est un élément qu’on a eu du mal à gérer. Une fois qu’on a réussi à fermer ces possibilités, ils ont commencé à nous déséquilibrer de plus loin, avec des courses qui venaient de l’arrière. Je pense d’ailleurs qu’ils ont créé leur plus grosse occasion de cette manière-là, lorsque Robin Risser réalise un arrêt important en première mi-temps.