Rouen : "Un nouveau stade de 40 à 50 000 places", la nouvelle idée du président | OneFootball

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·20 November 2024

Rouen : "Un nouveau stade de 40 à 50 000 places", la nouvelle idée du président

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Iwan Postel, président du FC Rouen, s’est exprimé sur le Stade Robert Diochon.

Décidément, le nouveau président du FC Rouen voit les choses en grand. En poste depuis l’été dernier et le rachat du club fondé en 1899 par l’homme d’affaires turc Tarkan Ser, Iwan Postel a fait part de ses ambitions pour sa formation. L’actuel treizième de National devra être en Ligue des Champions d’ici sept ans, selon les plus folles envies de leur meneur de barque. Afin de retrouver les premiers échelons du football français, le FCR devra mettre aux normes son stade Robert Diochon… ou en créer un nouveau. "Je suis intimement convaincu que cela ne sera pas un problème. Je vis avec des convictions, sinon, je ne serais pas positif. Après, si cela ne fonctionne pas, j’en prendrais l’entière responsabilité. J’y crois fermement" a-t-il, dans un premier temps, fait savoir lors d’une interview accordée au Quotidien du Sport.


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"Je ne peux pas imaginer qu’une région qui a 600 000 habitants, ne puisse pas vivre avec un club qui a 125 ans, et remplir un stade de 40 000 ou 50 000 places. Un stade qui sera modulable… Je ne veux pas dévoiler tout mon projet, mais il aura une ampleur nationale, voir mondiale, pas régionale" poursuit le président rouennais, qui entend donc démarrer un énorme chantier afin de faire passer le FCR dans une toute nouvelle dimension.

"S’il le faut, je vais affréter des Boeing pour ramener de la main d’oeuvre de Turquie ou de Pologne"

Forcément, il faudra donc acheter un terrain et obtenir les autorisations des multiples instances. "Si je le démarre, c’est avant la fin de la saison. La recherche du budget, ce sera facile, la partie la plus difficile, ce sont toutes les autorisations, départementales, régionales…" pense Iwan Postel, qui compte bien s’appuyer sur de la main d’oeuvre étrangère afin de faire accélérer les travaux. "Et après, la construction. La construction… Quand je vois le temps que ça leur prend pour faire des modifications dans le stade vétuste de Diochon, ça m’inquiète… S’il le faut, je vais affréter des Boeing pour ramener de la main d’oeuvre de Turquie ou de Pologne, et vous allez voir, la construction elle va aller 5 fois plus vite." Affaire à suivre donc…

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