"Une chose qui me manque, c'est le pain français" : Maxence Caqueret évoque son acclimatation à Côme et à la Serie A | OneFootball

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·17 November 2025

"Une chose qui me manque, c'est le pain français" : Maxence Caqueret évoque son acclimatation à Côme et à la Serie A

Article image:"Une chose qui me manque, c'est le pain français" : Maxence Caqueret évoque son acclimatation à Côme et à la Serie A

Quasiment un an après son départ de son club formateur, l'ancien Lyonnais Maxence Caqueret est revenu, lors d’un entretien à la Gazzetta dello Sport, sur son acclimatation à l’Italie, lui qui évolue désormais sous les ordres de Cesc Fàbregas à Côme.

C’est une acclimatation qui se passe plutôt bien. Parti à l’hiver 2025 de l’OL à Côme, le milieu de terrain Maxence Caqueret a quitté son cocon familial pour découvrir l’Europe et l’Italie. Le joueur de 25 ans semble comme un poisson dans l’eau. De l'autre côté des Alpes, il a disputé 29 matchs sur 32 possibles depuis qu’il est sous les ordres de Cesc Fàbregas. Le Français est revenu pour la Gazzetta dello Sport sur son adaptation à son nouvel environnement. L’ancien Gone l’assure : la France ne lui manque plus vraiment, à une exception près et pas des moindres :


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"La France ne me manque pas nécessairement, car quand nous avons des jours de repos, je retourne assez souvent à Lyon pour voir ma famille et mes amis. Ce n’est que cinq heures de voiture… Une chose qui peut me manquer ici, même si la cuisine italienne est l’une des meilleures, c’est le pain français."

"Les matchs sont assez fermés"

Au-delà du manque de baguette française, le natif de Vénissieux (Rhône) a aussi évoqué au média italien les aspects de la Serie A qu’il trouve plaisants : " Ce que j’aime dans le championnat italien, c’est qu’il est impossible de prévoir avec certitude qui remportera le Scudetto, qui jouera l’Europe ou qui se sauvera".

En revanche, l’international français Espoirs (24 sélections, 4 buts) n’est pas un adepte des 0-0. Sur les 11 premières journées de Serie A, 16 matchs se sont conclus sur un score nul et vierge : "Ce que j’aime un peu moins, c’est que les matchs sont assez fermés, mais ça fait aussi partie du charme du côté tactique italien. Les équipes défendent beaucoup, donc, inévitablement, il y a moins de buts." Caqueret commence vraiment à faire son trou dans le nord de l’Italie, avec une cinquième titularisation consécutive face à Cagliari conclue sur un 0-0 symbolique.

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