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·27 de noviembre de 2025

Bellingham, un rendement qui fait débat malgré des statistiques solides

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Le Real Madrid a renoué avec la victoire, mercredi face à l’Olympiakos (3–4), mettant fin à une série de trois matchs sans succès. Mais au-delà du quadruplé de Mbappé, une partie du débat post-rencontre a basculé vers Jude Bellingham. Entré en seconde période, après avoir été laissé sur le banc en raison d’une « surcharge musculaire », l’Anglais n’a pas pesé comme à son habitude.

Sur la Cadena SER, certains y ont vu un signe d’un malaise grandissant. « Autour de Bellingham, des doutes commencent à apparaître… et ça ne lui fait du bien ni à lui ni à l’équipe », a affirmé le journaliste Antonio Romero. Une analyse qui a surpris, tant le joueur est monté en puissance depuis son retour après son opération à l’épaule. Auteur de quatre buts et deux passes décisives cette saison, le numéro 5 merengue ne reste-t-il pas l’un des éléments les plus influents du groupe ? La gestion de Xabi Alonso, visant à le préserver en vue des prochains rendez-vous, a cependant alimenté l’incompréhension. Pourquoi commencer sur le banc… pour finalement entrer dans un match déjà presque plié ?


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Xabi Alonso face à un casse-tête tactique au milieu

Pour Xabi Alonso, le vrai défi ne se situe pas dans un supposé « cas Bellingham », mais biendans l’équilibre du jeu. L’entraîneur basque doit composer avec un élément majeur : Arda Güler brille précisément dans la zone où Jude Bellingham s’exprime le mieux. Le Turc a été l’un des joueurs les plus utilisés sur ce début de saison et son activité entre les lignes donne un souffle créatif que le coach ne peut plus ignorer. À l’inverse, Bellingham est un joueur trop important, par son volume et sa présence dans les deux surfaces, pour être déplacé ou sacrifié. Le coach doit désormais jongler entre deux profils qui demandent le même territoire, avec des dynamiques différentes.

Cette concurrence interne impose au staff de repenser certains mécanismes offensifs. Faut-il faire redescendre Bellingham en relayeur pour laisser un rôle plus libre à Güler ? Faut-il alterner selon les matchs ? Ou basculer ponctuellement vers un système plus offensif pour faire cohabiter tout le monde sans dénaturer l’équilibre ? Quitte à laisser Tchouaméni ou Camavinga sur le banc ?

A toutes ces questions, Xabi Alonso ne semble pas encore avoir trouvé des réponses définitives. Le débat n’est pas Bellingham contre Güler, mais comment optimiser deux talents essentiels sans perdre en solidité. Un casse-tête de luxe, mais un casse-tête tout de même, que le technicien devra résoudre à l’approche des échéances décisives qui arrivent.

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