Coupe du monde 2026 : les deux poules que la France doit absolument éviter au tirage | OneFootball

Le tirage au sort de la Coupe du monde 2026 a lieu dans quelques heures maintenant, et la France sait précisément ce qu'elle doit éviter.

A quelques mois de la Coupe du monde 2026, l’équipe de France connaît déjà les zones du continent nord-américain qu’elle redoute le plus. Avec un tournoi éclaté sur 16 villes réparties sur plus de 5 500 km et trois pays, le décalage horaire et les conditions climatiques seront des paramètres décisifs. Comme l'explique l'Equipe, conscients de cet enjeu, les Bleus ont envoyé une délégation de quatre membres pour inspecter les sites, analyser les temps de trajet, les températures et les infrastructures, afin d’anticiper au mieux un tournoi logistiquement complexe.

Didier Deschamps, qui vivra son dernier tirage comme sélectionneur, identifie clairement la région centrale des États-Unis et du Mexique comme la zone à éviter. Les stades de Kansas City, Houston, Dallas, Guadalajara, Monterrey et Mexico y concentrent à la fois de fortes chaleurs et un décalage horaire particulièrement lourd à gérer (–7 à –8 heures). Or les groupes F et K, dont la plupart des rencontres se dérouleront justement dans cette zone, représentent pour les Bleus un double handicap : climat éprouvant et adaptation circadienne difficile. Ce sont, pour Deschamps, les deux poules à éviter absolument.

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Le groupe G à souhaiter pour les Bleus ?

À l’inverse, l’Ouest américain — malgré l’éloignement — offrirait un climat plus tempéré. Le groupe G serait notamment idéal pour un début de compétition, tandis que l’Est, hôte des groupes C, I et L, constitue également une option favorable. Tomber dans un groupe accessible, comprenant par exemple des sélections novices comme Curaçao, le Cap-Vert, la Jordanie ou l’Ouzbékistan, serait un bonus supplémentaire.

Grâce à leur rang FIFA (3e), les Bleus seront dans le chapeau 1 et éviteront d’emblée les cadors que sont l’Espagne, l’Argentine ou l’Angleterre. Un avantage stratégique majeur : en terminant premiers de leur groupe, ils pourraient ne croiser ces géants qu’en demi-finales, à condition que chacun tienne son rang. Le tirage, organisé ce vendredi à Washington (18 h sur M6), déterminera donc non seulement leurs adversaires, mais aussi la difficulté logistique de leur parcours mondialiste.

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