« De flop à modèle », la presse mondiale s'enflamme pour Dembélé Ballon d'Or | OneFootball

Le sacre d'Ousmane Dembélé lors du Ballon d'Or a été unanimement salué par la presse mondiale. Qui loue son incroyable saison.

Ousmane Dembélé est entré dans l’histoire en remportant le Ballon d’Or 2025, offrant au PSG son premier trophée individuel suprême. De Madrid à Buenos Aires, de Londres à Berlin, la presse internationale a rendu hommage à l’attaquant français, saluant une saison qui restera gravée.

En Espagne, où le duel avec Lamine Yamal a passionné les débats, Marca a jugé le résultat incontestable. « 35 buts, 16 passes décisives et une Ligue des champions. Dembélé a construit une saison inattaquable, une œuvre d’art statistique. » Le quotidien madrilène ajoutant par la suite que « Lamine est l’avenir, mais le présent appartient à Ousmane. » Même ton du côté de AS. « C’est un juste gagnant. Il a été le plus régulier, le plus décisif et le plus spectaculaire. Le vote a confirmé une évidence. »

À Barcelone, Mundo Deportivo a mis en avant l’aspect émotionnel. « Ousmane a remercié le Barça, le club qui l’a vu éclore malgré les blessures. Mais il est désormais devenu le Ballon d’Or du peuple, l’enfant de Vernon qui a gravi la montagne. »

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La récompense du collectif PSG

La presse britannique, longtemps critique à son égard, s’est inclinée. « Dembélé n’est plus le garçon capricieux de Barcelone. Il est devenu un modèle de professionnalisme », écrit le Daily Mail. Pour The Sun, la formule est percutante. « De flop à modèle. Il court, il défend, il presse et il marque. C’est l’âme d’un PSG enfin champion d’Europe. »

En Allemagne, où il avait laissé son empreinte à Dortmund, Bild a titré sans détour. « Le nouveau roi du football mondial. » Le quotidien allemand rappelle évidemment son passé allemand. « Nous l’avons connu comme un diamant brut. Aujourd’hui, il a poli toutes ses facettes. Ses larmes au Théâtre du Châtelet sont la revanche d’un joueur qui a beaucoup souffert. »

En Italie, La Gazzetta dello Sport a souligné l’importance du collectif parisien. « Ce PSG a mis fin à l’ère des privilèges. Dembélé est l’emblème de cette équipe, sans Messi ni Mbappé mais enfin victorieuse. Le Français est la preuve que le travail, la patience et la discipline paient. »

En Amérique du Sud, Olé a choisi le registre de la passion. « Le génie français a ému le monde. Paris a trouvé son nouveau héros. Dembélé n’a pas seulement gagné pour lui, il a gagné pour tous ceux qui doutaient de lui. » Même écho au Brésil où Globo a évoqué « la rédemption d’une étoile fragile, désormais couronnée comme le meilleur joueur du monde ». Et de conclure avec une phrase forte : « Il a retourné l’histoire. »

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