France – Ukraine : le scénario catastrophe qui priverait les Bleus de la Coupe du monde 2026 | OneFootball

L'équipe de France a de grandes chances de valider son billet pour la Coupe du monde 2026. Mais un scénario existe où les Bleus peuvent tout perdre...

Et si le cauchemar devenait réalité ? Ce jeudi au Parc des Princes, l'équipe de France joue plus qu’un match : elle joue son destin mondial. Officiellement, une victoire contre l’Ukraine suffirait à valider le billet pour la Coupe du monde 2026. Mais dans le football, rien n’est jamais acquis — et l’ombre d’un effondrement plane sur les Bleus de Didier Deschamps.

Car le calcul est simple, mais impitoyable : une défaite contre l’Ukraine, et les deux équipes se retrouveraient à égalité avec 10 points. Derrière, tout se jouerait dimanche, lors d’une dernière journée à haut risque. L’Ukraine recevra l’Islande, la France ira en Azerbaïdjan — sur un terrain difficile, face à une équipe sans pression mais avide de réaliser un exploit énorme. Et si Mbappé et ses coéquipiers trébuchent encore, le scénario catastrophe prend forme.

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Des barrages de la peur en mars 2026 ?

Dans ce cas, les Ukrainiens pourraient doubler les Bleus à la différence de buts et s’emparer de la première place du groupe D. La France, elle, se retrouverait deuxième — un statut bien plus dangereux qu’il n’y paraît. Car contrairement à d’autres zones du monde, seule la première place offre une qualification directe. Le deuxième doit espérer un passage par les barrages.

Et ces barrages, personne n’en veut. Un mini-tournoi au couteau, en mars 2026, face à d’autres nations européennes frustrées : Italie, Croatie, peut-être même la Pologne. En 180 minutes, tout pourrait s'effondre.

Si les Bleus venaient à finir troisièmes, ils auraient aussi une place assurée pour les barrages de mars, en raison de leur place dans le Final Four de la dernière Ligue des nations. Mais là encore un scénario à haut risque, avec tout à jouer sur une double confrontation. Ce scénario noir paraît impensable. Un faux pas ce jeudi, un camouflet dimanche, et la machine pourrait s’enrayer. Le rêve américain se transformerait alors en cauchemar hexagonal. Deschamps le sait : un seul relâchement, et les Bleus pourraient dire adieu à la Coupe du monde 2026.

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