Jérôme Gnako : “Je viens d’un quartier populaire de Bordeaux, on était dans une cité et on passait nos après-midi et nos soirées à faire des petits foots” | OneFootball

« C’est venu un peu naturellement. Mon père jouait au foot, donc j’étais tout petit au bord des terrains, et comme tous les gamins, on prend un ballon, on joue avec les copains, et on passe l’après-midi à jouer. Je viens d’un quartier populaire de Bordeaux, on était dans une cité et on passait nos après-midi et nos soirées à faire des petits foots dans les entrées, sur les pelouses, etc… Je ne me suis même pas posé la question en fait, c’est venu tout à fait naturellement ».

« Mon père était déjà dans un club, donc à cinq ans j’y étais déjà aussi, même avant l’âge requis. Donc j’y ai vraiment baigné, depuis l’âge de cinq ans. C’était en moi. J’aimais ça, j’avais envie, et si je pouvais jouer 12 heures par jour au foot, je le faisais. Ce n’est même pas quelqu’un qui m’y a poussé, c’était mon truc quand j’étais gamin. Je pouvais faire des journées à jouer au football, c’était même poussé assez loin, ce qui est plutôt rare. J’étais quand même obnubilé par le football. Quand j’étais au collège on venait me chercher pour aller manger car j’étais sur le terrain en train de jouer. Ca tournait un peu à l’obsession ».

Ver detalles de la publicación