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·28 de diciembre de 2025

La pique discrète d'Antoine Kombouaré sur l'OM

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Dans un entretien avec Le Parisien, l’ancien joueur et entraineur du club de la capitale est revenu sur le titre en Ligue des Champions mais aussi sur la rivalité avec l’OM, en lâchant une phrase bien piquante sur les rivaux historiques.

Défenseur du Paris Saint-Germain entre 1990 et 1995, Antoine Kombouaré a vécu plusieurs époques du club de la capitale d’abord sur le terrain, puis sur le banc. Après avoir raccroché les crampons, il revient au PSG au début des années 2000 pour diriger l’équipe réserve, avant d’attendre patiemment son tour. Ce n’est qu’en 2009 qu’il accède enfin à l’équipe première.


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La punchline envers l’Olympique de Marseille

Parisien de cœur, Kombouaré n’en reste pas moins fidèle à l’esprit de rivalité qui anime aussi le football français. Dans un entretien accordé au Parisien, il n’a pas manqué de glisser une phrase forte, destinée autant aux supporters du PSG qu’à ceux de l’Olympique de Marseille. «À propos de première, les Marseillais disent : “À jamais les premiers.” Mais nous, c’est vraiment : “À jamais les meilleurs.” Gagner 5-0 en finale de Ligue des champions, personne. Et moi, j’étais là».

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Kombouaré heureux pour Paris, mais à distance

Premier entraîneur de l’ère QSI, même si son passage ne dura finalement qu’une demi-saison, Kombouaré reste associé à l’histoire ressente du Paris Saint-Germain. Pourtant, lorsque le club décroche enfin la Ligue des Champions le 31 mai dernier à l’Allianz Arena face à l’Inter (victoire 5-0), l’ancien défenseur ne s’estime pas légitime pour s’approprier ce succès. Présent sur place comme consultant, il a préféré rester à distance du trophée, par respect pour ceux qui ont construit cette victoire.

«Si j’ai touché la Coupe ? Non. J’ai voulu me mettre en retrait. Je n’ose pas. Ce n’était pas ma victoire. Il fallait la laisser aux vainqueurs. Mais je me suis senti privilégié d’être là. J’ai vécu tout cela de l’intérieur. C’était ma première comme consultant, et une première, ça ne s’oublie pas», a-t-il confié, avec une sincérité qui en dit long sur son attachement au club, à ses valeurs et à la volonté de maintenir la grosse rivalité avec son homologue au sud.

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