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·23 de abril de 2025

Les révélations géniales de Biereth sur son obsession du but et sa "bromance" avec Embolo

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Arrivé cet hiver à l'AS Monaco en provenance de Sturm Graz, Mika Biereth affole les compteurs depuis son transfert en Principauté. Obsédé par le but, lui qui a déjà frappé à douze reprises cette saison en Ligue 1, l'international danois est revenu sur cette obsession, lui qui ne se fixe aucune limite.

Mika Biereth n'a pas de temps à perdre. Arrivé cet hiver à l'AS Monaco en provenance de Sturm Graz pour 13 millions d'euros, il explose déjà les compteurs avec l'ASM puisqu'il a déjà inscrit douze buts et délivré treize passes décisives en l'espace de treize rencontres de Ligue 1. Une obsession pour le but pour laquelle il est revenu dans les colonnes de L'Equipe.


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"Je l'ai toujours eue, depuis tout petit, et je l'ai développée encore et encore. C'est assez simple, les buts font gagner les matches, et plus tu en marques, plus tu as de chances de gagner. Je comprends que dans le football on accorde de l'attention au « beau », mais ce n'est pas mon truc. Croyez-moi, il n'y aura jamais de compilation de mes skills sur YouTube (rires). Moi, j'aime marquer. Qui n'aime pas ça ?" a-t-il déclaré.

Biereth a toujours été "obsédé" par le but

Malgré tout, il ne veut pas se reposes sur ses acquis : "Pour un jeune, c'est un moment dangereux parce que ça peut te donner la sensation d'être sur le toit du monde. Or, dans le foot, tout va très vite dans les deux sens. Oui, c'est bien d'être heureux, mais ne sois pas trop heureux non plus parce que tu ne sais pas comment se passera le prochain match. Marquer un triplé, c'est cool. Mais la joie dure une poignée d'heures, après, j'essaye d'aller dormir, et ensuite, c'est déjà le lendemain. C'est facile de garder les pieds sur terre. Autour de moi, ma famille ou mes amis me disent « bien joué, mais ce n'était qu'un match de foot."

Pour le Danois, il est important de maintenir cette dynamique : "Quand un joueur arrive, tout le monde se demande combien il va marquer de buts. Marquer autant que je l'ai fait, c'est une anomalie. Mais on ne parle que d'une poignée de matches. Ce qui compte, c'est de réussir à me maintenir à ce niveau le plus longtemps possible (...) Comme attaquant, ce à quoi tu aspires, c'est d'avoir des opportunités de marquer des buts."

Des opportunités rendues faciles par ses coéquipiers : "Et c'est normal que dans une équipe telle que Monaco, avec autant de bons joueurs, il y en ait davantage. Ça oui, ça rend mon travail plus facile. Mais je reste un jeune joueur. Et vous avez dû voir sur certains matches qu'il y avait des défenseurs plus âgés, plus grands et plus forts que moi. Sur ces aspects-là, ç'a été compliqué. J'ai fait marcher ma tête pour éviter certains combats."

Embolo et Biereth, une bromance est née

Depuis son arrivée en Principauté, l'attaquant de 22 ans s'est aussi rapidement lié d'amitié avec Breel Embolo. Une bromance sur laquelle il s'est prononcé : "C'est pour ça qu'on travaille si bien, avec nos propres forces. Dans la vie de tous les jours, on est assez similaires. Breel, c'est l'un des meilleurs gars que j'aie rencontrés dans le foot. On vit très proches l'un de l'autre. L'autre jour, il m'a aidé à récupérer une trottinette parce que ma voiture n'est pas encore arrivée."

Une compliqué en dehors qui aide bien évidemment sur le terrain selon lui : "Cela rejaillit en match, ça donne une bonne énergie. Mais sur le terrain, nous sommes très différents. Lui est très impliqué dans la manière dont on joue, il fait beaucoup pour l'équipe. Pareil pour Maghnes (Akliouche) et "Taki" (Takumi Minamino). Ils ne sont pas autant obsédés que moi par le but, ils aiment aussi faire la dernière passe. Pour moi, c'est parfait. J'ai juste à me mettre en bonne position."

Enfin, il a préféré blaguer sur son profil, présenté comme un mix entre Erling Haaland et Harry Kane : "C'est une blague, mais si je dois me comparer à certains joueurs... Quand tu regardes Haaland, il peut rater des choses, mais il est toujours positionné au même endroit, jamais vraiment impliqué à la construction."

Une chose est sûre, le natif de Londres ne se fixe aucune limite : "Je suis un peu comme lui. Et lui un peu comme moi. Il aime être dans la surface, à la conclusion. Je l'admire vraiment. Kane, lui, est un peu différent. Il peut aussi créer des brèches et du lien avec ses équipiers. Je pense que j'en suis capable aussi."

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