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·2 de diciembre de 2025
Monaco/PSG – Explication lunaire d’une VAR en roue libre

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·2 de diciembre de 2025

Lors du Monaco/Paris Saint-Germain, la violente intervention de Lamine Camara (21 ans) sur Lucas Chevalier (24 ans) avait déjà mis tout le monde en ébullition. Le Parisien a révélé les mots de l’arbitre vidéo, censé assister Clément Turpin (43 ans). Il expose une justification pour le moins déroutante après une faute qui aurait dû valoir rouge.
« « L’impact est bas, c’est juste la torsion, on va voir ce que ça donne », affirme d’abord l’arbitre vidéo avant de confirmer son impression : « L’impact est bas, il y a une petite torsion, mais pour moi, contrôle terminé pour cette situation. » »
Difficile de faire plus surréaliste que cette séquence. Entendre l’arbitre vidéo expliquer « l’impact est bas » et parler d’une « petite torsion » pour finalement conclure que le « contrôle est terminé » frise le déni total de ce qui s’est réellement passé. La faute de Lamine Camara, pied en avant, cheville de Lucas Chevalier qui vrille, est objectivement l’une de celles que l’on classe dans la catégorie rouge automatique. Et pourtant, rien. Pas un rappel à l’ordre, pas une demande pour que Mr Turpin aille voir les images. On parle ici d’un système censé corriger les erreurs évidentes, qui se contente de contextualiser une torsion comme si c’était un détail anatomique banal. L’explication est lunaire, presque désarmante, et pose une question simple : comment éviter la répétition si l’analyse à froid est déjà à côté de la plaque ? Dans ce cas-là, reconnaître les erreurs ne suffit plus, il faut comprendre comment on en arrive là.









































