OL - OM (2-3) : la défaite est "une honte" pour Cherki | OneFootball

OL - OM (2-3) : la défaite est "une honte" pour Cherki | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Olympique-et-Lyonnais

Olympique-et-Lyonnais

·22 de septiembre de 2024

OL - OM (2-3) : la défaite est "une honte" pour Cherki

Imagen del artículo:OL - OM (2-3) : la défaite est "une honte" pour Cherki

Alors qu’il pensait avoir rapporté un point à l’OL, Rayan Cherki n’a pas mâché ses mots à l’issue de la rencontre suite à la défaite contre l’OM (2-3). Le joueur offensif estime que ce revers est "une honte".

Le scénario n’aurait pas pu être plus beau pour lui. Laissé de côté en attendant un départ puis la signature d’une prolongation, Rayan Cherki pensait avoir joué un petit peu les sauveurs dans le temps additionnel de cet Olympico. En reprenant d’une Madjer un centre de Clinton Mata, le joueur offensif avait ramené l’OL à 2-2 à deux minutes de la fin du match. Malheureusement, une erreur de concentration dans la foulée et une erreur de relance de Lucas Perri ont empêché les Lyonnais de limiter la casse avec un point du match nul.

Au contraire, c’est une vraie déception pour cette formation lyonnaise qui s’incline 3-2 après avoir joué à onze contre dix pendant 85 minutes. À l’issue du match, Cherki n’a pas mâché ses mots. "C’est une honte, ils sont à dix depuis la 5e minute, ça fait des années et des années qu’on mène à la maison et qu’on ne fait que reculer, a pesté le joueur sur DAZN. Le match passe, on a 50 000 occasions, mais on ne fait que reculer."


OneFootball Videos


"Il faut savoir enterrer les équipes qui viennent"

Ce dimanche soir, si l’OL n’affiche encore que quatre points au compteur, il ne le doit qu’à lui-même. Car, comme l’a souligné Rayan Cherki, la supériorité numérique durant toute la rencontre aurait dû permettre aux Lyonnais de s’offrir un Olympico presque tranquille. Certes, Rulli a fait un gros match en face, mais si l’OL ne gagne pas dans ces conditions, on ne voit pas ce qu’il faudrait de plus. "Si on veut être une grande équipe, quand on mène, il faut enterrer les équipes qui viennent ici. Quand on mène, il faut savoir en mettre un, deux, trois, quatre ou cinq. Aujourd’hui, il n’y avait rien pour eux et ils repartent avec les trois points. Ils font les beaux et on a zéro point. Quand on voit toutes les occasions, ça doit finir à 3 ou 4-0, surtout à dix contre onze."

Des mots durs sous le coup de l’émotion, mais finalement pas si loin de la vérité.

Ver detalles de la publicación