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·1 de septiembre de 2025

OL - OM : le surnom terrible de la Provence pour Balerdi après sa soirée cauchemar

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Leonardo Balerdi a passé une soirée absolument affreuse avec l'OM hier soir, qui s'est même prolongée face à la presse. Qui ne l'a pas épargné par la suite avec un surnom douloureux...

Dimanche soir, l’OM a vécu une nouvelle désillusion en s’inclinant sur la pelouse de l’OL (0-1). Réduits à dix après l’exclusion précoce de CJ Egan-Riley, les Phocéens ont longtemps résisté avant de céder en fin de match… sur un but contre son camp de Leonardo Balerdi (88e). Capitaine de l’OM pour cet Olympico, l’Argentin a quitté Décines la tête basse, à la fois fautif sur l’action de l’expulsion et malheureux buteur contre son camp.


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En zone mixte, le défenseur a en prime affiché son agacement face aux critiques sur la fiabilité de l’arrière-garde olympienne. « Je ne veux pas répondre », a-t-il lâché, visiblement excédé contre les journalistes après une série de relances hasardeuses et de choix défensifs contestés. Depuis le début de saison, l’OM a déjà encaissé quatre buts en trois matchs et traîne encore les mêmes lacunes défensives que l’an passé.

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Balerdi rebaptisé Capitaine Flemme

C’est dans ce contexte que La Provence a tiré à boulets rouges sur le capitaine marseillais. Dans son édition du jour, le quotidien régional n’a pas hésité à le rebaptiser « Capitaine flemme », une référence ironique au héros de dessin animé « Capitaine Flam ». Derrière ce surnom cinglant, la critique est claire : Balerdi est jugé apathique, loin du leader rugueux et intraitable attendu en charnière centrale.

L’article souligne ses erreurs répétées – une passe mal assurée à l’origine du rouge d’Egan-Riley, un placement incertain, et surtout ce but contre son camp – tout en pointant du doigt l’incapacité des dirigeants olympiens à renforcer réellement la défense cet été. Alors que Roberto De Zerbi doit lancer sa campagne de Ligue des champions face au Real Madrid puis défier le PSG au Vélodrome, l’OM apparaît fragilisé. Et dans cette tempête, Leonardo Balerdi, censé incarner l’autorité défensive, se retrouve la cible privilégiée. Le surnom « Capitaine flemme » risque bien de coller longtemps à l’Argentin si ses performances ne s’élèvent pas rapidement.

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