OM : Nasri à Rennes, la révélation du Marseillais | OneFootball

Dans un entretien auprès de la presse bretonne, Samir Nasri est revenu sur la rumeur qui l’envoyait au Stade Rennais fin 2024. L’ancien international français a aussi révélé avoir récemment eu des échanges avec un ancien entraineur du Stade Rennais.

Lorsque l’arrivée de Jorge Sampaoli au Stade Rennais a été officialisée en novembre 2024, une rumeur a rapidement pris de l’ampleur : Samir Nasri allait-il rejoindre le staff du technicien argentin ? L’hypothèse semblait crédible vu que l’ancien meneur de jeu et Sampaoli s’étaient côtoyés au FC Séville lors de la saison de Liga 2016-2017.

Dans un entretien accordé à Ouest-France, l’ex international français a tenu à rétablir la vérité et mettre un terme à ces spéculations : «Non, ça n’a jamais été vrai que je rejoigne le staff de Sampaoli», a-t-il assuré, balayant d’un revers de main une piste qui avait pourtant enflammé les discussions à l’époque.

Des discussions crédibles avec Rennes

Si le lien supposé avec Sampaoli était infondé, Nasri a en revanche reconnu une autre piste, bien plus réelle : il a effectivement eu des échanges avec Bruno Genesio, qui occupait encore le banc rennais avant l’arrivée de l’Argentin. Sans trop rentrer dans les détails, l’ancien joueur de l’OM a confirmé que des contacts avaient été établis.

Une collaboration avec Sampaoli semblait pourtant logique. À Séville, l’Argentin avait fait de Nasri son taulier au milieu de terrain. Sous ses ordres, le milieu offensif avait disputé 30 rencontres, inscrit 3 buts avant de poursuivre son parcours en Turquie puis à Anderlecht. L’association entre les deux hommes avait laissé un souvenir marquant en Andalousie et l’idée qu’ils puissent retravailler ensemble n’était pas farfelue.

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Samir Nasri entraineur ?

Aujourd’hui, l’avenir professionnel de Samir Nasri semble flou. Début 2025, il avait publiquement exprimé son intention de passer ses diplômes d’entraîneur. Pourtant, lors de son échange avec Ouest-France, il a reconnu avoir mis cette ambition de côté, préférant se consacrer pleinement à sa vie personnelle. «J’aimerais bien, mais ma vie aujourd’hui ne le permet pas. Je sais que, demain, si je suis entraîneur, ma vie ne sera consacrée qu’à ça. Passer du temps avec mon fils, qui vit à Dubaï, n’est pas compatible avec ce métier. Il faut qu’il grandisse. Après, on verra.»

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