OM - Une décision soudaine et radicale, le clan Rabiot n'a rien vu venir ! | OneFootball

Poussé vers la sortie par l'OM, Adrien Rabiot ne s'attendait pas à une décision si radicale de la part de son futur ex-club.

Suite à sa violente altercation avec son coéquipier Jonathan Rowe (22 ans), survenue dans le vestiaire phocéen à l'issue de la défaite concédée sur la pelouse du Stade Rennais FC (1-0), vendredi soir dernier, lors de la 1ère journée de Ligue 1, Adrien Rabiot (30 ans) a été écarté du groupe professionnel jusqu'à nouvel ordre puis placé sur la liste des transferts en cette fin de mercato estival. L'Olympique de Marseille a pris la décision, radicale, de se séparer de son milieu de terrain français. Une décision à laquelle ne s'attendait pas, mais alors pas du tout, l'international tricolore (53 sélections, 6 buts).

Selon des indiscrétions rapportées par RMC, le "Duc" s'est entretenu ce lundi après-midi avec Pablo Longoria, le président des Ciel-et-Blanc, et Medhi Benatia, le directeur du football marseillais. Au cours de cette entrevue, les dirigeants lui ont expliqué que l'OM ne pouvait pas laisser passer une telle attitude ainsi qu'un tel comportement agressif. Sans toutefois évoquer une possible fin d'aventure sur la Canebière... Roberto De Zerbi, de son côté, a annoncé à son joueur qu'il souhaitait qu'il s'entraîne désormais en marge du groupe, à l'instar de Jonathan Rowe, le second protagoniste de l'altercation.

Une décision signifiée ce mardi, au téléphone

La sentence ne serait tombée que ce mardi lorsque Benjamin Arnaud, le secrétaire général de l'OM, aurait appelé les représentants d'Adrien Rabiot pour leur expliquer la volonté du club de s'en séparer. Comme déjà relaté dans notre média, Roberto De Zerbi aurait invoqué un manque d'implication de son numéro 25 comparé à la saison dernière. Une critique qui aurait beaucoup surpris Adrien Rabiot et son entourage. "Il était épanoui à Marseille. On est très surpris", a ainsi fait savoir Romuald Palao, l'avocat de l'ancien joueur du Paris Saint-Germain, à nos confrères de RMC. Feuilleton à suivre !