"On doit se racheter" : comment De Zerbi et l'OM comptent rebondir après l'épisode Rowe-Rabiot | OneFootball

À la veille d'accueillir le Paris FC au stade Vélodrome (17h) dans le cadre de la deuxième journée de Ligue 1, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille Roberto de Zerbi a évoqué la suite à donner pour son équipe après l'épisode entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot.

Tous les yeux seront braqués sur le stade Vélodrome ce samedi, en fin d'après-midi. Une semaine après l'altercation entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot dans le vestiaire à Rennes, l'Olympique de Marseille va effectivement accueillir le Paris FC dans le cadre de la deuxième journée de Ligue 1 (17h). Déjà en crise, le club de la Cité phocéenne va devoir rebondir après sa défaite initiale en Bretagne (0-1) mais surtout vis-à-vis de ce fâcheux épisode qui a tenu en haleine tout Marseille depuis.

Présent en conférence de presse ce vendredi 22 août, Roberto De Zerbi, qui en a profité pour livrer ses vérités, a été interrogé sur la manière de se relever après cette semaine de chao, marquée par les mises à l'écart des deux joueurs. "C'est dur, a-t-il tout d'abord concédé. J'ai dit au groupe qu'on avait fait les choses de la manière juste, le club a fait ce qu'il avait à faire en tant que club", a-t-il ajouté.

4 à 6 recrues encore attendues ?

Pour la réception du PFC, "il y aura des problèmes au niveau de la compo." Car outre les absences d'Adrien Rabiot (qui ne jouera plus pour l'OM selon sa mère et agente) et Jonathan Rowe (en partance pour Bologne), Facundo Medina, Geoffrey Kondogbia et peut-être Amine Harit "ne seront pas disponibles. Donc il y a beaucoup de différences par rapport au groupe avec lequel je travaillais ces dernières semaines. Et on doit se racheter après le match contre Rennes", a-t-il appelé.

Et "je ne pense pas que la saison soit déjà compromise, a-t-il aussi balayé. Il y a des recrues qui vont arriver, 4, 5 ou 6. Il y a des règles, l'anarchie dans une équipe de foot ça n'existe pas. Ce n'est pas qu'une question économique." Enfin, et comme souvent, l'entraîneur italien compte s'appuyer sur l'énergie et la grinta pour relever la tête. "Je l'ai dit, sur le terrain il faut montrer vos attributs. Les couilles, comme vous dites ici. Mais pas en frappant votre coéquipier", a-t-il terminé.

"À cause de l'entourage" : la grosse explication de Roberto De Zerbi sur l'altercation Rowe-Rabiot

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