Real Madrid : le plan de Xabi Alonso pour renverser le Barça | OneFootball

On en sait plus sur le projet de jeu porté par Xabi Alonso avec le Real Madrid pour cet exercice 2025-2026, le Basque est attendu au tournant en Espagne.

Il n’a fallu que quelques semaines à Xabi Alonso pour imprimer sa marque. À peine installé sur le banc madrilène, l’ancien stratège a déjà transformé le visage de la Maison Blanche. Et le match amical contre le Tirol, disputé à Innsbruck, a levé le voile sur une partie de son plan pour cette saison 2025-2026.

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Le retour du 4-3-3

Premier signal fort : le retour au 4-3-3 classique. Devant Courtois, Trent Alexander-Arnold, Militao, Huijsen et Carreras formaient une ligne défensive inédite mais cohérente. Militao, enfin débarrassé de ses pépins physiques, a répondu par un but et une autorité retrouvée. À ses côtés, Huijsen a confirmé son statut de pépite : relance propre, calme sous pression, lecture du jeu… Xabi en a fait son homme de confiance.

Sur le flanc gauche, Carreras, pour sa première, a brillé en duo avec Vinicius. Offensivement, il a offert des solutions constantes, défensivement il a assuré ses couvertures. Un profil précieux dans le dispositif d’Alonso. Si la défense change de visage, la colonne vertébrale se situe un cran plus haut. Aurélien Tchouaméni, en sentinelle, récupère et oriente. Arda Güler, lui, est la surprise de ce début d'exercice.

Un pressing constant

Face au Tirol, le Turc a régalé : passes tranchantes, vision de jeu, maturité bluffante… et une offrande à Mbappé. Cette paire est désormais indéboulonnable aux yeux de l’entraîneur, comme l'affirme le quotidien Marca. Sur la droite, Brahim Diaz a été préféré à Rodrygo. Une hiérarchie qui bouge, l'Auriverde ayant remplacé Vinicius pour marquer dans la foulée. Un but qui entretient le suspense autour de son rôle cette saison.

Mais le véritable ADN du nouveau Real Madrid ne se lit pas seulement sur la feuille de match. C’est dans l’attitude que le changement saute aux yeux. À la perte du ballon, pression immédiate et belle coordination : Alonso veut que la défense commence à la seconde où la possession s’envole., ajoute le quotidien. Vinicius, en premier rideau, en a été la meilleure incarnation. Son objectif final : façonner une équipe capable d’imposer un rythme infernal, d’asphyxier ses rivaux et de frapper vite

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