Le Journal du Real
·31 décembre 2024
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·31 décembre 2024
Voici les 10 matchs les plus marquants du Real Madrid lors de son exceptionnelle année 2024 :
L’année 2024 a commencé sous les meilleurs auspices pour les Madrilènes. Après une victoire en Coupe du Roi, les Merengues se sont envolés pour Riyad afin de disputer la Supercoupe d’Espagne face à l’Atlético.
Après un début de match disputé, le Real Madrid a dû puiser dans ses ressources pour répondre aux assauts de son rival. C’est Carvajal qui a égalisé dans les derniers instants du match, redonnant espoir aux siens et forçant la prolongation.
Lors de celle-ci, l’inévitable Joselu, acteur majeur des succès madrilènes en 2024, a redonné l’avantage au Real grâce à une tête piquée décisive. Enfin, Brahim Díaz a scellé la victoire en profitant d’une montée désespérée de Jan Oblak pour inscrire le dernier but du match.
Avec ce succès 5-3, le Real Madrid a validé son billet pour la finale, démontrant une fois de plus son caractère et sa capacité à briller dans les moments cruciaux.
Quatre jours plus tard, les Madrilènes disputent la finale face à leur éternel rival, le Barça. Dans un Clasico rapidement à l’avantage des Merengues, l’équipe de Carlo Ancelotti a maîtrisé son sujet de bout en bout pour décrocher son premier titre de l’année 2024.
Dès les premières minutes, le Real Madrid s’est montré dominateur, profitant des failles défensives adverses. Vinícius Júnior, en pleine forme, a ouvert le score à la suite d’une superbe combinaison avec Jude Bellingham, plongeant les Blaugranas dans le doute. Il a également doublé et triplé la mise, premièrement grâce à une offrande de Rodrygo qui était parti dans le dos de la défense du Barça et ensuite en transformant un pénalty qu’il a lui-même obtenu.
Le Barça, dépassé, a réduit la marque grâce à un but de Lewandowski. En seconde période, le Real Madrid a poursuivi sur le même rythme et Rodrygo a aggravé le score.
Cette victoire nette et sans appel (4-1) a permis au Real Madrid de remporter sa treizième Supercoupe d’Espagne. Au-delà du trophée, ce succès a envoyé un signal fort : les Merengues semblent prêts à dominer sur tous les fronts en 2024.
L’équipe du Real Madrid soulevant le trophée de la Supercoupe d’Espagne (Photo by Yasser Bakhsh/Getty Images)
Après la victoire en Supercoupe, les Merengues ont eu du mal à poursuivre leur chemin, se faisant éliminer de la Copa del Rey par l’Atlético et réalisant une piètre première période contre Almería.
Rapidement menés 2-0 au Santiago Bernabéu, les Madrilènes ont décidé de réagir en seconde période. Après une première mi-temps d’observation, les hommes d’Ancelotti ont été piqués au vif. À la 55ᵉ minute, Jude Bellingham a réduit l’écart en transformant un penalty.
Puis, à la 60ᵉ, Vinícius Júnior a égalisé d’un tir à ras de terre, bien servi par son compère anglais. C’est alors dans les dernières minutes que le match s’est décanté.
Alors que l’égalisation semblait suffire pour un match nul, Dani Carvajal a inscrit le but décisif à la 98ᵉ minute, sur un centre de Vinícius, offrant ainsi la victoire 3-2 au Real Madrid.
Le match du titre ! Au Santiago Bernabéu, le Real Madrid a réalisé une incroyable performance, mettant fin aux espoirs des Catalans de décrocher le trophée à la fin de l’année.
Dès le début de la rencontre, les Merengues ont dominé. Vinícius Júnior a ouvert le score dès la 6ᵉ minute avec un tir croisé imparable, mettant le Real Madrid sur la voie de la victoire. À la 35ᵉ, Jude Bellingham a doublé l’avantage avec un tir bien placé après une belle action collective.
En seconde période, le Real Madrid a continué à exercer une pression constante sur Girona. À la 54ᵉ minute, Bellingham a inscrit un doublé d’un tir à ras de terre, scellant quasiment la victoire. Enfin, à la 61ᵉ, Rodrygo a complété le large succès avec un quatrième but, profitant d’un excellent service de Vinícius.
Avec cette victoire 4-0, le Real Madrid a pris cinq points d’avance en tête de la Liga, consolidant ainsi sa position de leader et envoyant un message fort à ses concurrents à ce stade de la saison.
Le printemps arrivé, le Real Madrid se révèle comme toujours. Cette double confrontation est mémorable puisque, après le match aller au Santiago Bernabéu, le suspense est resté de mise après un match fou.
Celui-ci a démarré sous les chapeaux de roue. À la suite d’un coup franc causé par Tchouaméni, Bernardo Silva surprend Lunin et marque un but astucieux d’un tir à ras de terre, laissant la défense madrilène sans réaction. Dès lors, Manchester City prend l’avantage après seulement deux minutes de jeu.
Cependant, le Real Madrid n’a pas tardé à réagir. À la 12ᵉ minute, Ruben Dias trompe Ederson après avoir contré une frappe surpuissante de Camavinga. Déchaînés, les Madrilènes poursuivent et, Rodrygo, lancé dans la profondeur, se joue de la défense avant de tromper le portier des Citizens avec délicatesse.
En seconde période, Manchester City réagit. À la 66ᵉ minute, Phil Foden égalise d’une frappe enroulée sublime, tandis que Joško Gvardiol tente aussi sa chance de loin pour donner l’avantage aux hommes de Guardiola. Le match devient alors fou, les deux équipes se rendant coup pour coup.
Après un déboulé de Modrić, Vinícius Júnior centre parfaitement pour Valverde, qui, d’une demi-volée sublime, égalise et laisse planer l’espoir d’une victoire à l’Etihad Stadium.
Le dénouement de ce match retour à l’Etihad Stadium s’est fait attendre, mais l’intensité était là dès le coup d’envoi. Dès la 12ᵉ minute, Rodrygo a ouvert le score pour le Real Madrid, profitant d’une maladresse d’Ederson, qui a renvoyé le ballon directement sur lui.
Après avoir mené toute la rencontre, les Madrilènes ont vu leur avantage réduit à néant à la 76ᵉ minute, lorsque Kevin De Bruyne, bien servi par un mauvais dégagement d’Antonio Rüdiger, a ajusté Lunin d’un tir précis pour égaliser.
Le match s’est poursuivi sans autre but et la rencontre s’est donc décidée par une séance de tirs au but. C’est là que Lunin est devenu le héros, en arrêtant les penalties de Bernardo Silva et Mateo Kovačić.
Finalement, c’est Antonio Rüdiger qui a inscrit le tir décisif, offrant ainsi la victoire au Real Madrid. Ce succès permet aux Merengues de se qualifier pour les demi-finales de la Ligue des champions, éliminant ainsi le champion en titre, Manchester City.
Antonio Rüdiger inscrivant le pénalty victorieux face à Manchester City (Photo by Naomi Baker/Getty Images)
Après un match retour éprouvant à l’Etihad Stadium, les Madrilènes ont dû rapidement se remettre au travail face à Barcelone, quelques jours après. Le Santiago Bernabéu a offert un Clasico haletant qui a tenu toutes ses promesses. Dès le coup d’envoi, les deux équipes ont montré une intensité impressionnante.
Barcelone a frappé fort dès la 6ᵉ minute, avec une tête d’Andreas Christensen sur un corner parfaitement exécuté, prenant ainsi l’avantage. Cependant, le Real Madrid n’a pas tardé à réagir. À la 18ᵉ minute, Vinícius Júnior a transformé un penalty, rétablissant l’équilibre.
À la 69ᵉ minute, Fermín López a redonné l’avantage aux Blaugranas, mais les Merengues, fidèles à leur réputation, ont montré leur caractère et leur résilience. À la 73ᵉ minute, après un centre précis de Vinícius Júnior, Lucas Vázquez s’est jeté pour égaliser.
Alors que le match semblait se diriger vers un partage des points, le destin en a décidé autrement. Dans les dernières secondes du match, à la 91ᵉ minute, Jude Bellingham a inscrit le but décisif.
L’Anglais, opportuniste, a profité d’une déviation de Joselu pour donner la victoire aux Madrilènes, offrant ainsi un succès crucial pour le Real Madrid.
Dans les grands moments, le Real Madrid a toujours cette capacité à surgir de l’ombre, même lorsque tout semble perdu. C’est exactement ce qui s’est passé cette soirée de mai au Santiago Bernabéu.
Après un match aller intense qui s’était soldé par un 2-2 à l’Allianz Arena, les Merengues abordaient ce retour avec confiance, convaincus de leur capacité à se qualifier pour la finale. Mais le scénario du match allait leur réserver bien des surprises.
Le Bayern a frappé le premier à la 68ᵉ minute, avec un superbe but d’Alphonso Davies qui a glacé l’atmosphère du Bernabéu, mettant les Madrilènes dans une position délicate.
Mais Carlo Ancelotti, fidèle à son sens tactique, a alors fait un changement décisif en faisant entrer Joselu à la 81ᵉ minute, à la place de Federico Valverde. Un coaching qui allait rapidement porter ses fruits.
Dans les derniers instants de la rencontre, Joselu a ravivé l’espoir dans les cœurs des supporters madrilènes. Sur une lourde frappe de Vinícius Júnior, bien captée par Manuel Neuer, ce dernier a relâché le ballon. Joselu, tel un renard des surfaces, a surgi pour pousser le cuir au fond des filets et offrir l’égalisation à son équipe.
Joselu après son égalisation face au Bayern Münich (Photo by David Ramos/Getty Images)
Galvanisés par cet exploit, les joueurs du Real Madrid ont continué à pousser. Antonio Rüdiger, dans la surface, s’est parfaitement décalé avant de délivrer un centre millimétré dans une défense allemande d’une passivité déconcertante.
Joselu, toujours au bon endroit au bon moment, a mis son pied en opposition pour inscrire le deuxième but et délivrer le Bernabéu tout entier. Cette victoire héroïque restera à jamais gravée dans l’histoire du club, non seulement pour la prestation de Joselu, mais aussi pour la manière dont le Real Madrid a répondu aux épreuves dans un match aussi crucial.
Un moment inoubliable qui témoigne de la force de caractère et de la détermination inébranlable des Merengues dans les plus grands défis.
Ce 1er juin restera gravé à jamais dans l’histoire de la Casa Blanca ! Le Real Madrid a remporté sa 15ᵉ Ligue des champions après une victoire maîtrisée 2-0 contre le Borussia Dortmund en finale. Dès le coup d’envoi, Istanbul a été témoin de la domination madrilène.
Bien que les Allemands aient tenté de bousculer le géant espagnol, au fil des minutes, le Real Madrid a retrouvé son fameux calme et sa maîtrise. Défensivement, les Merengues, emmenés par un Antonio Rüdiger intraitable, n’ont laissé aucune faille, et Lunin, une nouvelle fois impressionnant, a éteint les rares espoirs des attaquants allemands.
La première grande occasion se faisait attendre, mais, comme souvent dans ces matchs à enjeux, c’est le Real Madrid qui a frappé au bon moment. Sur un corner parfaitement exécuté par Toni Kroos, Dani Carvajal a surgi pour inscrire un superbe but de la tête, laissant le gardien allemand impuissant.
Le Real Madrid venait de prendre l’avantage et, une fois de plus, le club aux 14 Ligues des champions marquait son empreinte sur la scène européenne. Le Borussia Dortmund a tenté de réagir, mais à chaque offensive, la défense madrilène est restée solide.
Puis, à la 72ᵉ minute, Vinícius Júnior, l’homme des grandes soirées, a inscrit un but sublime. Après une récupération haute de Jude Bellingham, l’Anglais a décalé le Brésilien qui, du pied gauche, a mis un terme aux espoirs allemands. Le Real Madrid a écrit une nouvelle page glorieuse de son histoire. Ce sacre, plus qu’un trophée, est le symbole de l’esprit indomptable du club.
Sous la houlette de Carlo Ancelotti, cette équipe a su répondre présente dans les moments décisifs, inscrivant à nouveau son nom parmi les immortels du football européen. Un triomphe historique pour le Real Madrid, le Roi incontesté de la Ligue des champions.
Vinicius Jr. inscrivant le but du 2-0 face au Borussia Dortmund en finale de la Ligue des champions à Wembley (Photo by Ryan Pierse/Getty Images)
Lors de cette nouvelle édition de la Ligue des Champions, un remake de la finale de l’année précédente a eu lieu, mais ce match ne s’est pas déroulé aussi calmement que lors du sacre du Real Madrid. En effet, après une première mi-temps où les Allemands ont pris l’avantage 2-0 grâce à des buts de Donyell Malen et Jamie Bynoe-Gittens, tout semblait compromis pour les espoirs madrilènes.
Cependant, dès le retour des vestiaires, les hommes de Carlo Ancelotti ont montré une détermination renouvelée. Dès le coup d’envoi, le Real a intensifié la pression sur Dortmund. C’est d’abord Antonio Rüdiger qui a réduit l’écart, parfaitement servi par Kylian Mbappé à la 60e minute.
Cinq minutes plus tard, Vinícius Júnior a égalisé, reprenant ainsi le contrôle du match pour les Merengues. Lucas Vázquez, avec un sens du timing parfait, a donné l’avantage au Real Madrid à la 83e minute, après une superbe action collective. Mais les cinq dernières minutes sont devenues une véritable démonstration individuelle de Vinícius Júnior.
Sur un déboulé impressionnant depuis sa moitié de terrain, il a pris de vitesse toute la défense allemande et inscrit son deuxième but à la 86e. Puis, dans les arrêts de jeu, sur une dernière action éclatante avant la surface de réparation, il a scoré un triplé, scellant ainsi la victoire 5-2 pour les Merengues.
Malgré un début de saison difficile, le Brésilien a démontré qu’il pouvait devenir un leader sur le terrain, répondant présent lorsque le Real Madrid en avait le plus besoin. Une prestation de haute volée qui a définitivement mis en lumière son talent et sa capacité à briller dans les moments décisifs.
Une année 2024 marquée par de nombreux moments heureux pour le club, avec un triplé prestigieux : la Liga, la Supercoupe d’Espagne et la Ligue des champions pour la saison 2023/2024.
Lors de la deuxième partie d’année, le Real Madrid a ajouté la Supercoupe d’Europe et la Coupe Intercontinentale à son palmarès, confirmant son statut de géant du football mondial.
Alors que 2025 se profile, les Merengues continuent de rêver grand et visent de nouveaux défis, avec l’ambition de prolonger leur domination sur tous les fronts.