Le Journal du Real
·11 décembre 2025
« Asencio a voulu me rentrer dedans dès la première minute… j’adore ça », s'amuse Haaland

In partnership with
Yahoo sportsLe Journal du Real
·11 décembre 2025

Erling Haaland a encore une fois montré pourquoi il est considéré comme l’un des attaquants les plus ingérables de la planète. Face au Real Madrid, l’avant-centre de Manchester City s’est retrouvé plongé dans un combat constant avec Antonio Rüdiger et Raúl Asencio, chargés de tenter d’éteindre le cyborg. Une mission qui a fini par tourner à l'avantage de ce dernier, notamment grâce au penalty qu’il a provoqué sur Rüdiger et qui a donné le but du 1-2.
Interrogé par TNT Sports et son plateau composé de Steven Gerrard, Joleon Lescott et Steve McManaman, Haaland a raconté son duel avec une franchise désarmante. « Asencio m’a poussé dès la première minute, il voulait la bagarre. Moi, j’aime ça. Ça ne me dérange pas du tout », a-t-il expliqué en rigolant, confirmant qu’il préfère les soirées où la bataille est totale.
Concernant Rüdiger, même constat : « Avec lui, c’était la guerre dans chaque duel. Il m’a trop poussé. Pour moi, penalty clair. » Cette transparence dans l’analyse de son match résume le caractère du Norvégien : il ne fuit pas le combat, il le recherche.
Dans son échange avec TNT Sports que relaye AS, Haaland a affiché un vrai regret : ne pas avoir croisé Kylian Mbappé sur la pelouse. « Quand tu affrontes les meilleurs, ça te donne un boost mental. On pensait tous jouer contre lui », a-t-il confié. Le duel entre les deux phénomènes devait être l’attraction de la soirée. L’absence du Français a laissé un goût d’inachevé à l’attaquant de City.
Malgré la rivalité sportive, Haaland a tenu à rendre hommage au Real Madrid et à son stade. « Jouer au Bernabéu, c’est spécial. Tu regardes autour de toi… c’est incroyable. C’est exactement le genre de match que tu veux vivre. » Une déclaration qui souligne le respect sincère du Norvégien pour l’histoire du club madrilène, bien que celui-ci subisse régulièrement ses assauts.
Là où beaucoup critiquent le nouveau format de la compétition, Haaland le défend avec enthousiasme. « Plus de matchs ? C’est génial. J’adore ça. » Difficile de lui donner tort quand on voit ses statistiques : 55 buts en 54 rencontres sur la scène européenne.
Le terrain continental est devenu son habitat naturel. Au-delà du duel personnel, Haaland a reconnu que City n’a pas livré sa performance la plus maîtrisée. « C’était un match fou, plein de transitions. On aurait pu en marquer un de plus. Jeremy aussi a eu des occasions. Mais ici, c’est toujours difficile. »
Cette victoire était vitale pour les Skyblues après la défaite face à Leverkusen. « Si on ne gagnait pas aujourd’hui, la situation aurait été compliquée. Cette victoire nous garde dans le top 8. Maintenant, il faut finir le travail. ». Toujours concentré, le Norvégien a conclu avec sa philosophie habituelle : « On profite quelques heures… et on se remet au travail. Notre calendrier est fou. Il faut rester en forme. Match après match. »









































