Aymen Boutoutaou (VAFC) : « C’était compliqué mais beau sur la fin » | OneFootball

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·30 novembre 2024

Aymen Boutoutaou (VAFC) : « C’était compliqué mais beau sur la fin »

Image de l'article :Aymen Boutoutaou (VAFC) : « C’était compliqué mais beau sur la fin »

Poussé dans ses retranchements par une valeureuse équipe de Neuilly-sur-Marne (4-3), le VAFC a tout de même réussi à décrocher son billet pour les 32es de finale de Coupe de France. Au terme d’un match qu’Aymen Boutouaou n’est pas prêt d’oublier. Entretien.

Comment avez-vous vécu ce match un peu irrationnel ?

On a eu une première période assez compliquée. On a essayé de jouer, mais on n’y arrivait pas. Ensuite, on s’est dit les mots concrètement dans le vestiaire. On est revenu pour gagner le match et c’est ce qui s’est passé sur la fin.


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Le scénario n’en demeure pas moins fou. On vous a vu encaisser un but à chaque fois qu’on pensait que vous alliez prendre le dessus…

Sur le dernier match contre Roubaix, ils ont prouvé qu’ils étaient costauds mentalement avec une capacité à revenir au score après avoir pris un but. C’est ce qui s’est passé encore une fois. C’est un de leurs points forts. De notre côté, il ne fallait pas lâcher. On a bien préparé le match, on a vu du spectacle. C’était compliqué mais c’est beau à la fin.

Vous qualifier et gagner dans ces circonstances peut-il vous faire du bien pour la suite ?

Franchement, oui. C’est un bien sur le plan mental. On a amené les supporters avec nous. On est heureux tous ensemble. Cela va se ressentir sur le prochain match face au Mans. On va vraiment bien préparer ce match. Il faut savoir passer par des victoires en Coupe de France.

Ce match arrive au terme d’une semaine particulière pour le VAFC. Comment avez-vous vécu cela ?

Mentalement, c’était dur. Surtout en connaissant très bien la personne, le coach. Je travaillais avec depuis pas mal d’années. Maintenant, le football demande à vite passer à autre chose. Il faut savoir le faire. On veut toujours jouer la montée et on ne va rien lâcher pour y parvenir.

Propos recueillis par Enzo PAILOT

Crédits photo : Alexandre Martins/Icon Sport

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