Barça : "Merci Lamine", le vestiaire du Real Madrid ne lâche pas Yamal | OneFootball

Le Real Madrid ne lâche plus Lamine Yamal et après la victoire face au Barça, les Merengue ont continué de chambrer leur jeune espagnol dans les vestiaires.

Il suffit parfois de quelques mots pour enflammer un Clásico et le rendre historique. Et cette fois, c’est Lamine Yamal qui a allumé la mèche. À la veille du choc entre le Real Madrid et le Barça, le jeune ailier catalan avait voulu pimenter un peu la rivalité. A-t-il eu raison ? Les Madrilènes ont trouvé dans ses déclarations une source d’énergie inattendue. Et ils ne s’en sont pas privés.

L’atmosphère était déjà électrique au Santiago Bernabéu avant le coup d’envoi. Le Barça arrivait fragilisé par les blessures, mais déterminé à enchaîner une cinquième victoire de suite. De l’autre côté, le Real Madrid de Xabi Alonso cherchait une victoire symbolique pour relancer la machine. Il l’a trouvée, au terme d’un match rugueux remporté 2-1.

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Yamal, la source de motivation

Mais au-delà du score, c’est une autre histoire qui s’est jouée dans les coulisses, une revanche personnelle. D’après le journaliste José Luis Sánchez dans l’émission Jugones, la phrase la plus répétée dans le vestiaire merengue après la rencontre aurait été : « Gracias, Lamine » (« Merci, Lamine »). Un remerciement ironique, bien sûr, adressé à celui qui leur avait offert, sans le savoir, un supplément de motivation.

Sur le terrain, les tensions ont vite éclaté. Vinicius et Dani Carvajal, jamais les derniers pour répondre, ont eu plusieurs accrochages avec le jeune Barcelonais, lui reprochant son excès de confiance. Après le coup de sifflet final, quelques mots ont encore volé entre les camps. Le Bernabéu, lui, n’a cessé de siffler Yamal à chacune de ses touches de balle.

Cette victoire propulse les Madrilènes, qui comptent cinq points de plus que le Barça. Pour les hommes de Flick, en revanche, le coup est rude. Et pour Yamal, encore gêné par des douleurs au pubis, la soirée aura été un rappel à la dure loi du Clásico : la moindre phrase peut se transformer en carburant pour l’adversaire.

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