Benoit Trémoulinas : “J’ai eu la chance aux Girondins d’être bien encadré, bien écouté aussi par le doc de l’époque, qui était le docteur Dubeau” | OneFootball

Benoit Trémoulinas : “J’ai eu la chance aux Girondins d’être bien encadré, bien écouté aussi par le doc de l’époque, qui était le docteur Dubeau” | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·15 octobre 2025

Benoit Trémoulinas : “J’ai eu la chance aux Girondins d’être bien encadré, bien écouté aussi par le doc de l’époque, qui était le docteur Dubeau”

Image de l'article :Benoit Trémoulinas : “J’ai eu la chance aux Girondins d’être bien encadré, bien écouté aussi par le doc de l’époque, qui était le docteur Dubeau”

Pour « 1000% », l’ancien latéral des Girondins de Bordeaux, Benoit Trémoulinas, est revenu sur les prémices de sa grave blessure au genou, expliquant que certains clubs avaient été précautionneux avec lui.

« On a été Champion de France en 2009 avec les Girondins de Bordeaux, et cette année-là j’ai eu une petite alerte au genou. On décèle une petite fissure au ménisque externe. J’ai eu la chance aux Girondins de Bordeaux d’être bien encadré, bien écouté aussi par le docteur de l’époque, qui était le docteur Dubeau. J’ai aussi été bien écouté par Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset qui par moment me faisaient sauter quelques séances d’entrainement pour que je sois à 100% physiquement le jour du match. C’était vraiment important. Après, il y a eu de plus en plus de matches, la Champions League avec Bordeaux. J’ai signé à Kiev, un club totalement différent avec des méthodes totalement différentes, mais là aussi ils étaient à l’écoute de mon genou, donc quand j’avais besoin ils me faisaient un peu souffler. Séville, c’est devenu compliqué parce que c’était un club qui avait gagné deux Ligue Europa, et on est 20 joueurs potentiellement titulaires, donc à l’entrainement c’était la guerre. On avait du travail une heure avant et après l’entrainement. Il y a des moments où j’avais peut-être besoin de souffler, et c’était compliqué d’avoir des jours de repos : c’est là qu’a commencé ma chute ».

C’est vraiment Séville, à l’inverse des autres clubs, qui n’a pas pris les précautions nécessaires pour son genou.


Vidéos OneFootball


« A Séville, il y a eu ces problèmes de genou parce qu’on n’a pas été trop à l’écoute, chose qui a été faite à Bordeaux ou à Kiev. Et puis, on propose des infiltrations de corticoïdes… On ne m’a pas obligé à les faire, mais il y avait une telle concurrence que tu as envie de jouer… Il ne te reste plus qu’un an de contrat, tu fais ces infiltrations, et j’en ai trop fait… Le genou a lâché ».

À propos de Publisher