Caen – Bruno Baltazar avant Annecy : « On doit s’adapter à la réalité qui est de lutter » | OneFootball

Caen parviendra-t-il à endiguer sa série noire (8 défaites) lors de la 23e journée de Ligue 2 ? Le temps presse après les bons résultats des autres équipes de bas de tableau (victoires d’Ajaccio, Rodez et du Red Star). Avant le déplacement à Annecy, Bruno Baltazar s’est présenté en conférence de presse, notamment pour acter les forfaits des deux recrus hivernales, Samuel Grandsir et Yassine Benrahou, blessés, ainsi que de Quentin Lecœuche, pour un heureux événement.

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« On a notre façon de jouer qui est adaptable, à un jeu plus direct, plus de deuxièmes ballons. C’est important, même pendant le match on doit être capable de changer de système, toujours avoir un plan B. Même si pour le moment, je ne vois pas que c’est le système à changer. Mais on est prêt, car on a des joueurs capables d’interpréter différents systèmes. On va jouer un match avec beaucoup de duels, de jeu aérien, de coup de pied arrêté, c’est peut-être un match pour relancer Romain Thomas oui. C’est une possibilité, on verra lundi. »

Sur l’adversaire : « Si on peut jouer les douze derniers matches comme des finales, on peut se sortir de cette situation. On connaît l’urgence, on sait l’importance et je n’ai pas envie de me répéter sur ça. Annecy est un adversaire compliqué, physique, avec beaucoup d’impact et de duels. C’est une équipe qui aime faire beaucoup de pressings et jouer avec les caractéristiques de son terrain, surtout en hiver. On doit s’adapter à la réalité qui est de lutter et équilibrer le match par rapport aux forces de l’adversaire […] Le terrain à Annecy ne sera pas facile, l’adversaire est difficile surtout à domicile, c’est une équipe qui court beaucoup et est très consistante, mais on est obligés de prendre les trois points. Si on gagne avec un corner, 1-0, je signe de suite jusqu’à la fin de saison. Il faut s’adapter et être réalistes. Il faut être costaud et se battre pour les trois points. On a travaillé sur les longs ballons, le jeu direct par exemple, après, si on peut mettre en place notre jeu, on ne jouera pas un long ballon. Mais l’idée est de comprendre le match et s’adapter. »

Source : Ouest-France