CAN 2025 : l'inévitable Salah sauve l'Egypte face au Zimbabwe ! | OneFootball

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·22 décembre 2025

CAN 2025 : l'inévitable Salah sauve l'Egypte face au Zimbabwe !

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Alors que l'Egypte semblait se diriger vers un nul décevant face au Zimbabwe, la star Mohamed Salah a pu sauver les siens dans le temps additionnel.

L’Égypte a connu une entrée en matière mouvementée dans la CAN 2025, ce lundi soir à Agadir, face à un Zimbabwe courageux qui a ouvert le score dès la 20ᵉ minute par Dube. Les Pharaons, pourtant favoris du groupe B, ont peiné à s’adapter à l’intensité et à la solidité défensive des Warriors. Pendant plus d’une heure, les hommes d’Hossam Hassan ont peiné, manquant de solutions offensives malgré les initiatives de Marmoush et les centres précis de Salah. Le match semblait filer vers une surprise après une première période à l’avantage du Zimbabwe, qui défendait avec discipline et profitait de chaque erreur égyptienne.


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L’entrée de Mostafa Mohamed et la montée en puissance de Marmoush ont finalement redonné de l’élan à l’attaque égyptienne. À la 64ᵉ minute, Marmoush a égalisé d’un missile à bout portant, profitant d’un marquage trop laxiste pour tromper Arubi et relancer les Pharaons. Mais l’égalisation ne suffisait pas : le Zimbabwe restait menaçant et l’Egypte se montrait toujours dépendante de son capitaine.

Salah, le coup de patte décisif

Comme souvent, Mohamed Salah s’est révélé l’homme providentiel. Dans le temps additionnel (90+1’), il a délivré l’Égypte d’un but salvateur, concluant une action construite d'une frappe du gauche et offrant trois points cruciaux à son équipe. Fidèle à son rôle historique dans la compétition, Salah a une fois de plus montré qu’il était incontournable pour les Pharaons, marquant ou étant impliqué dans chacun des moments décisifs.

Cette victoire 2-1 face au Zimbabwe souligne la fragilité des Pharaons lorsqu’ils ne parviennent pas à imposer leur rythme, mais aussi la capacité de leur star à transformer le destin d’un match. L’Égypte peut désormais aborder ses prochains affrontements dans le groupe B avec confiance, mais la leçon est claire : sans Salah, les Pharaons auraient pu être surpris dès le premier match.

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