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·29 février 2024
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Alors que Clermont continue de lutter pour s’offrir une chance de croire en son maintien en Ligue 1, rares sont les individualités auvergnates qui parviennent à sortir leur épingle du jeu. Avec seulement 17 points engrangés et cinq longueurs de retard sur l’actuel 16ème, l’exercice 2023-2024 du CF63 est semé d’embûches et il leur faudra mettre un sérieux coup de collier pour conserver leur place dans l’élite la saison prochaine. Arrivé en prêt en provenance du Spartak Moscou cet été, Shamar Nicholson est l’une des bonnes pioches clermontoises grâce à ses 4 buts et 3 passes décisives en 19 matchs de championnat. Au cours d’un long entretien, il s’est confié au site officiel de la Ligue 1 au sujet de sa découverte et de son adaptation à la première division française.
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Son choix de rejoindre Clermont
« Quand mon agent m’a dit que le club s’intéressait à moi, j’ai tapé « Clermont » dans Google, je n’ai demandé d’informations à personne. Je savais que c’était un club de Ligue 1 Uber Eats, un championnat que je suivais en Jamaïque. C’est ce qui m’a poussé à venir. Et quand je suis arrivé, ma première impression a été de me dire que Clermont ressemblait beaucoup à Charleroi, en Belgique, où j’ai joué pendant deux ans. C’est une petite ville, tranquille. Il n’y a pas grand-chose à faire mais c’est une bonne chose car tu peux te concentrer sur le football du coup (rires). »
Son adaptation à la Ligue 1
« Durant mes premiers mois, j’ai fait plusieurs bons matchs lors desquels je ne marquais pas mais je créais des occasions, je donnais des passes décisives (deux sur ses quatre premiers matchs)… Et plus tard, j’ai récolté les fruits de mon travail en marquant. Je suis un joueur d’équipe, je me bats, et c’est ce que je faisais déjà sur les matchs où je ne marquais pas. Ces premiers mois ont servi à bâtir les fondations des buts que j’ai mis ensuite. Et ensuite, quand tu marques, tu gagnes en confiance, en efficacité… »
Photo by Daniel Derajinski/Icon Sport