"Des pipes, des pantins", "Sissoko bête de chez bête", Riolo se lâche | OneFootball

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·26 décembre 2024

"Des pipes, des pantins", "Sissoko bête de chez bête", Riolo se lâche

Image de l'article :"Des pipes, des pantins", "Sissoko bête de chez bête", Riolo se lâche

En effet, à la vingtième minute de jeu, l'attaquant de l'AS Saint-Étienne Ibrahim Sissoko a été exclu par M. Stinat pour une mauvaise réaction et un coup asséné à Leonardo Balerdi. Derrière, ça a été une démonstration de l'OM qui a ouvert le score dans le foulée, avant d'ajouter trois autres buts (0-4).

Dans l'After Foot de RMC, le chroniqueur Daniel Riolo est revenu sur cette rencontre, sur la prestation stéphanoise et sur le geste de Sissoko. Riolo a fait du Riolo avec des mots forts et même parfois un peu limites : "Il était là le Norvégien (Eirik Horneland, ndlr), au stade (ce dimanche à Geoffroy-Guichard, pour le match entre l'ASSE et l'OM, ndlr). Une belle équipe de pipes ! Je ne sais pas comment il va les remettre à courir parce que les mecs ne bougent pas, ce sont des pantins ! Le carton rouge de Sissoko ? Il est débile ! Quand tu vois la réaction derrière, tu as l'impression qu'il est bête, qu'il ne comprend pas... Mais il le sait qu'il a mis un coup comme ça, c'est bête. Tu le sais, tu dois connaître un petit peu tes adversaires, tu sais que Balerdi il est plutôt dans la catégorie des vicieux, s'il y a matière à ce qu'il force un peu une expulsion, il va le faire. Si tu veux faire la petite garce (sic), tu peux le faire comme il n'y a pas la VAR, à l'ancienne. Mais lui il l'a fait quand l'arbitre était à deux mètres. Il est bête de chez bête !"


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Pour rappel, Laurent Huard était revenu sur le geste de son attaquant en conférence de presse d'après-match expliquant que Sissoko s'était excusé face à son vestiaire : "Cette expulsion de Sissoko, on ne va pas s'étaler dessus parce qu'il n'y a pas la VAR on le sait mais ce qui m’embête c’est qu’on tombe dans ce jeu-là alors qu'on était prévenu et puis on commence à connaitre ce joueur-là (Balerdi, ndlr). Comme par hasard, ça tombe sur lui. Ça se retourne contre nous. (...) Sissoko ? Il s’est excusé. Il a compris l'ampleur de son geste, de son erreur. Il a dit qu’il n’avait pas à faire ça. ll est tombé dans le piège, c’est fait c’est fait on ne va pas s’étaler là-dessus."

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