Eirik Horneland : "C'était un match plaisant !" | OneFootball

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·20 septembre 2025

Eirik Horneland : "C'était un match plaisant !"

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Un match plaisant

Reims est une très bonne équipe qui nous a demandé beaucoup. Notre adversaire a pris l’initiative et nous avons produit un début de match très compliqué. Après 20 minutes, plusieurs joueurs ont commencé à trouver des combinaisons. Ça nous a donné plus d’espaces, on a repris la main sur le match. Le penalty, qui n’est pas légitime, ne nous a pas tellement perturbé. Je nous pensais capable d’être meilleurs en seconde période. Après ce troisième but, on doit être en mesure de tuer ce match. Ça n’a pas été fait avant cette réduction du score rémoise. Les deux équipes voulaient gagner ce match, c’était un match plaisant, stressant, mais plaisant. C’est allé d’un but à l’autre, c’était sûrement agréable à regarder.

Des individualités qui se révèlent

La bonne nouvelle, c’est qu’Igor Miladinovic a confirmé la bonne impression laissée à Clermont. Nadir El Jamali a également pointé le bout de son nez. C’est une bonne chose en l’absence de Mahmoud Jaber qui ne pouvait pas débuter cette rencontre. Irvin Cardona et Lucas Stassin ont montré de belles choses, déjà en L1 la saison dernière. Ils sont capables de bien se trouver et se connaissent bien. Augustine Boakye a aussi des repères et un rôle très intéressant. Avec Igor et Nadir, ils sont parvenus à tous se trouver. Ça nous a offert des opportunités. Nous avons plusieurs joueurs d’impact, qui peuvent marquer de plusieurs angles. Ce soir, on a vu de très jolis buts, mais aussi de belles séquences. Malgré tout, il y a toujours une marge de progression à aller chercher. Les joueurs sont capables de donner plus, notamment techniquement.


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Le forfait de João Ferreira

Joao a été touché lors de l’échauffement, il a ressenti quelque chose à l’adducteur et nous n’avons pas souhaité prendre de risques à l’aube de cette grosse semaine. Je pense que c’est aussi un facteur qui a expliqué notre entame de match compliquée, sachant aussi qu’Ebenezer Annan revenait de trois semaines d’indisponibilité.

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