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·29 octobre 2025

Equipe de France : "Chaque entraîneur a la pression" ... La sortie cash de Bonadei sur son avenir

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L'équipe de France a vécu une nouvelle désillusion hier soir en se faisant éliminer en demi-finale de la Ligue des nations par l'Allemagne (0-1, 2-2). Après la rencontre, Laurent Bonadei a été interrogé sur son avenir.

Encore raté. Tenue en échec hier soir par l'Allemagne à Caen en demi-finale retour de la Ligue des nations, l'équipe de France ne rejoindra pas l'Espagne en finale et ne remportera donc toujours pas de trophée majeur. Un nouvel échec pour Laurent Bonadei et ses troupes, qui suscitent toujours autant de débats sur leur capacité à franchir le cap. En conférence de presse après la rencontre, le sélectionneur des Bleues n'a pas manqué d'être fataliste.


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"Ce n'est pas le même scenario, c'est un match nul. On a eu beaucoup d'occasions de marquer, la possession à 60 %. Elles ont tout donné. On a bien démarré et puis elles marquent sur leur première frappe. Il faut alors repartir au combat, sans se découvrir. On aurait mérité de rentrer aux vestiaires avec l'avantage. Ensuite, on est menés, mais on y a cru jusqu'au bout avec les occasions de Clara Mateo, de Kadidiatou Diani" a-t-il déploré dans des propos rapportés par L'Equipe.

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Bonadei fataliste

Selon lui, l'efficacité a été la grande différence : "Les Allemandes ont deux frappes cadrées et marquent deux fois. C'est un maximum de réussite. On a eu des situations, on a buté sur la gardienne. Il faut trouver de la lucidité à ce moment précis, alors qu'on a beaucoup pressé. Il faut travailler devant le but. Je suis passé à trois derrière en fin de match, avec deux attaquantes, pour mettre plus de pression."

Le tout avant d'être un brin fataliste : "Je vois beaucoup de signaux positifs dans la progression, notamment des jeunes, et l'état d'esprit. Y compris chez les remplaçantes. La déception de se faire éliminer est évidemment là. Je suis déçu pour elles car elles ont beaucoup donné et respecté le plan de jeu. On a tout fait pour obtenir des occasions et emballer le match."

Son poste en danger ?

"Mais peut-être qu'il faut être réaliste, lucide, et se dire qu'on est à notre niveau. Nous ne sommes que 6es du classement FIFA, derrière l'Allemagne et l'Espagne, notamment" a-t-il concédé. De quoi le menacer ? Une chose est sûre, il ne veut pas se cacher même s'il a assuré qu'il s'était engagé sur le long terme avec la FFF.

"Je fais mon travail tous les jours, comme les filles. J'ai un contrat jusqu'en 2027, je me suis engagé sur un projet. J'ai ma conscience professionnelle avec moi. Mais chaque entraîneur a la pression. On fait du mieux possible. On fait parfois des erreurs, aussi". Reste à savoir si son bilan sera de nature à satisfaire Philippe Diallo.

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