Équipe de France : Didier Deschamps justifie l’absence de Kylian Mbappé | OneFootball

Dans une interview accordée à la chaîne YouTube de la FFF, Didier Deschamps a évoqué l’absence de Kylian Mbappé.

L’équipe de France va devoir montrer un autre visage. Après une défaite contre l’Italie (1-3) et une victoire poussive contre la Belgique (0-2), la sélection tricolore va affronter Israël (jeudi 10 octobre à 20h45, en Hongrie, à Budapest, en direct sur TF1) et la sélection belge (lundi 14 octobre, à 20h45, à Bruxelles, en direct sur TF1) pour le compte de la troisième et de la quatrième journée de la Ligue des Nations. Pour les deux rencontres, le staff de la sélection tricolore a convoqué 23 joueurs. Pour pallier le forfait de Dayot Upamecano, Loïc Badé (Séville) a été appelé. En revanche, Kylian Mbappé (Real Madrid) a été laissé la disposition de son club.

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Didier Deschamps justifie l’absence de Kylian Mbappé

Dans une interview accordée à la chaîne YouTube de la Fédération Française de Football (FFF), Didier Deschamps a justifié l’absence de Kylian Mbappé : "Alors après, il peut y avoir des interprétations sur le fait que…oui mais c’est valable pour tous les clubs. A un moment, s’il y a des joueurs qui sont dans la situation qu’il peut y avoir des soucis sur le plan physique, de tout temps ils (les clubs) ont été réfractaires à ce qu’ils puissent aller en sélection et prendre des risques. Je ne suis pas là pour prendre des risques, j’ai été entraîneur en club et quand vous êtes en club et que vous estimez qu’il y a un risque, vous pouvez quand même faire jouer les joueurs. Pour moi cette relation avec les joueurs, de discuter directement avec eux, plus en ayant des éléments sur le plan médical avec les échanges entre les médecins de club et notre médecin, cela m’amène à prendre une décision, je le répète, pour le joueur. Et après avoir dit ça, je ne vais pas dire que ça s’est accentué mais ça n’a pas diminué du fait du calendrier qu’ils ont dans leur club. La quasi-totalité sort des trois dernières semaines en ayant neuf matchs. C’est-à-dire trois matchs par semaine. Donc évidemment, et je regarde aussi les autres joueurs, il y a beaucoup de joueurs qui se blessent. Je n'ai pas analysé en profondeur pour savoir s’il y avait plus de blessures qu’avant mais forcément la surcharge du calendrier amène les clubs qui sont, je le répète, les employeurs, à être plus vigilants par rapport à la situation des uns et des autres."

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