OnzeMondial
·18 novembre 2024
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L'équipe de France pourrait réaliser un énorme coup au classement FIFA cette semaine.
Critiquée durant toute l'année 2024 pour le jeu déployé, l'équipe de France a néanmoins fini celle-ci en beauté hier soir en prenant le meilleur sur l'Italie (3-1) à San Siro. Un succès qui lui a permis de ravir la première place du groupe aux Azzurri et d'avoir l'avantage de recevoir au retour lors des quarts de finale tout en évitant l'Allemagne, le Portugal et l'Espagne. En plus de cela, cette victoire face aux Italiens pourrait lui permettre de terminer en tête du classement FIFA pour cette année 2024. Mais cela dépend bien évidemment de l'Argentine.
Opposée au Pérou dans la nuit de mardi à mercredi, l'Albiceleste devra s'imposer si elle veut conserver sa place de leader. Tout autre résultat la fera glisser à la deuxième place et même potentiellement à la troisième si l'Espagne venait à battre la Suisse et qu'elle s'inclinait face aux Péruviens. Les hommes de Lionel Scaloni payent ainsi cinq derniers matchs en dents de scie où ils n'ont gagné qu'à deux reprises pour deux défaites et un nul. Pour rappel, les champions du monde sont en tête de ce classement depuis avril 2023, soit quelques mois après leur triomphe au Qatar.
Une chose est sûre, cette potentielle première place au classement FIFA appuierait encore un peu plus les propos de Didier Deschamps hier soir au moment de faire le bilan de l'année 2024 des Bleus : "Je veux bien qu'on dise que c'était une année difficile, mais on est quand même demi-finalistes de l’Euro, compte tenu des problèmes qu’on a eu. On était qualifié avant ce match. Là on va chercher la première place. Si l’équipe de France doit gagner tous les matchs minimum 3-0... On va gagner deux fois contre la Belgique. Les autres groupes je les regarde, c’est pas les mêmes. Ça va. Je suis déconnecté et ça me va très bien. Je suis au cœur de ce qui se passe dans le vestiaire avec évidemment des choix différents parce que j’étais convaincu que c’était le moment. Ça aurait pu bien moins se passer. Je vais bien, j’ai plein d’énergie, mon calme et ma sérénité. Après quand ça va moins bien, je connais très bien l’exigence. On est là-haut, c’est de la faute de mes joueurs mais un peu de la mienne aussi, mais il faut y rester. Mais nous quand on a fait match nul contre l’Israël vous avez vu ce qu’ils ont fait le Brésil et l’Argentine ? On ne peut pas gagner tous les matchs. Ça a été une année compliquée, mais je vais très bien, d’autant plus en gagnant en Italie pour le dernier match." rappelait-il hier au micro de TF1 après le succès à San Siro.
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